"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

mardi 22 juin 2010

C’est nous les africains…

"J'adore mon pays, j'adore les Bafana Bafana et je suis fier d'eux"
(un employé de nettoyage à Bloemfontein)

Ce soir, nous serons tous des africains !

Commentant sur un autre blog, je disais hier qu’il revenait à la FFF ou à je ne sais laquelle de ses huiles dirigeantes de déclarer forfait devant l'Afrique du Sud et "de rentrer tout ce joli monde à Paris où chacun prendra un taxi à ses frais pour rentrer chez lui" Que "ce serait ça l'honneur de la France et de "l'équipe". Point barre.
C’eut été le minimum absolu de micro-panache à afficher pour avoir au moins tenté (vainement) de sauver la fa[r]ce…

Dernier panache d’un Cambronne, quand tout est perdu, crachant son mot pour l’Histoire face aux ennemis ; c’est à dire, cette fois-ci, en se retournant et en s’adressant à ses troupes

NON. Au lieu de çà, Domenech, petit laquais la queue entre les jambes, vient bredouiller devant le monde entier : "- Bien sûr, on y va. Mais, ben euh… y en a, m'sieur, qui vont peut-être pas vouloir…"

Vivement que les Bafana Bafana explosent le record de score de la compétition (pour l’instant 7 à 0 je crois…) Que nous puissions ce soir dans la rue (sans être soupçonnés de …) entonner (à peu près) ce très vieux chant guerrier :

"- C’est nous les africains qui revenons de (pas très) loin…"

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