"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

mardi 17 mai 2011

Vulgarité passagère…

Après avoir lu le plaidoyer en défense de Béachelle pour ce pauvre Dominique et son rewriting par le Sorpasso chez ILYS, excusez-moi, je n’ai pas pu m’empêcher…

De la lecture du texte du play-boy vieillissant au col de chemise le plus sexy de Paris, texte aux paragraphes si bien pesés qu’ils en sont empesés, il ressort une absence totale, absolue, un vide sidéral sur les circonstances de la chose ; de cette chose aussi inconvenante qu’impensable et indicible qui est quand même, ne l’oublions pas, à l’origine nécessaire et suffisante de ce drame :

RIEN sur la fragilité de ce pauvre Dominique, pourtant connue de tous. Fragilité certes marginale au regard de ses immenses qualités et compétences, mais qui devrait être mise en avant, tant elle devrait lui valoir des circonstances atténuantes aux yeux des Gaulois (ils ne comptent plus, je sais)

RIEN, non plus sur son accusatrice, pourtant explicitement soupçonnée par des autorités morales de s’être prêtée à un horrible complot.

POURQUOI ? Parce qu’on ne parle pas de ces choses. Même les Evangiles ne parlent pas de la libido du Christ fait homme, alors de celle de Dominique, pensez donc ! Qui pourrait oser s’interroger sur l’angélisme de ses pulsions ? Parce que son accusatrice est une femme, de bas-étage qui plus est… Bref, La tentatrice, la séductrice, la pécheresse par excellence. C’eut été un homme encore…

Bref, Béachelle nous montre une fois encore à quel point il est coincé, puritain et pudibond

Putain ! BHL, déboutonne-toi un peu et dis-nous vraiment ce que tu penses !



- DEDANS ?

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