"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

vendredi 8 mars 2013

Des droits et d’une certaine "Journée"…



Je ne voulais pas en parler, faute de trouver quoi en dire, la flemme aidant… La Journée sans tabac, la Journée internationale pour la diversité socioculturelle et pour la lutte contre la discrimination, ou encore la Journée internationale de la protection de la couche d'ozone, je trouverais bien quelque chose à dire. Mais la Journée de la femme ??
La femme EST. Point barre… Elle est depuis la nuit des temps. Que serais-je sans toi ? Et depuis la nuit des temps, c’est elle qui manage le boxon, mine de rien… Il n’y a que durant deux ou trois millénaires de sédentarisation agricole (autant-dire rien)  qu’elle a dû céder la culotte au mec. Et encore, seulement dans les régions forestières septentrionales et pour des raisons tout à fait compréhensibles. Et c’est fini ! Elle a repris le manche (enfin, je me comprends…) Relisez le propos très éclairant de Vertumne sur ce point. C’est vieux de trois ans mais si ce n’est pas d’hier, c’est d’aujourd’hui et de demain…

Bien sûr, c’est pas encore ça. "Je gagne moins que lui", "Y me harcèle", gnagna, etc. Alors que le seul front de la lutte des femmes aujourd’hui, le seul, c’est le statut de la femme chez les muzz… Allez en causer aux FEMEN et autres pétasses qui bavassaient ce matin sur Fwonce-Cul’ : "Notre but n’est pas la laïcité, nous voulons interdire et détruire les religions…" Seulement dans les églises… Connasses.

Mais je m’égare. Revenons à cette "Journée". Cékoiça ?

On notera qu’en Fwance, la journée internationale de la femme, terminologie officielle de l’ONU, UNESCO, UNICEF, etc. est devenue la journée internationale des droits des femmes, expression retenue par les pouvoirs publics et par… Osez le féminisme… Accessoirement, on notera aussi que la date du 8 mars a été retenue en célébration d’une manif’ d’ouvrières américaines au XIX° siècle. Manif’ qui n’a jamais eu lieu, mythe inventé en 1955 par l’Humanité pour les besoins de sa cause d’alors. La presse du PC et de la CGT nous le rappelle d’ailleurs chaque année et ça va finir par être le genre de truc qui vous conduit direct au procès pour négationnisme. Mais je m’égare encore…

L’intéressant, c’est cette notion de Droits (au pluriel, c’est important…) La encore, le flou organisateur a enterré le droit des femmes (au singulier, droit des…) avec ce pluriel désormais de rigueur. Et, sous-jacent mais présent à l’esprit de chacun, il ne s’agit pas des droits des… mais de droits à des… A quoi ? A… tout ? au contraire de tout ? au n’importe quoi ? au congé de menstruation ? à la grossesse à six mois ? Je m’arrête, sinon je vais dire des conneries (en plus…)

Bon. Au départ je ne voulais pas en parler, juste vous dire, si ce n’est déjà fait, de lire le papier d’humeur de Marie Delarue ce matin chez Boulevard Voltaire.   

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