"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

dimanche 2 novembre 2014

En estos días de todos santos y todos caídos…



Pour la communion des saints et la mémoire de ceux qui nous ont quittés, ces jours-ci ce serait plutôt le genre Halloween version trash ou Freddy et les morts vivants chez les bisounours (pour le meilleur scénario, demandez à Didier Goux)…

En ces jours, donc, après être allé à la messe et, de chrysanthèmes en chrysanthèmes, présenter mes devoirs au cimetière du village, j’éprouve le besoin de vous parler de trois choses.

- Tout d’abord de vous parler des Saints, de ceux d’hier et de ceux d’aujourd’hui.
Quand j’étais plus jeune – ou moins vieux – j’avais coutume de dire, tout chien fou que j’étais, qu’il n’y avait que deux types de sainteté qui valaient le coup : Les "fous de Dieu" et les "Soldats de Dieu"…
En ces temps d’un autre siècle, les références allaient de soi : On avait comme modèles Saint François d’Assise et Saint Ignace de Loyola.
Si l’on se réfère aux fous de Dieu et soldats de Dieu qui sont aujourd’hui à la mode – et beaucoup plus chez nous qu’on veut bien nous le dire – on mesure le chemin parcouru sur la voie du progrès et de la Parousie avec l’aide constante et altruiste des maîtres du soupçon, des programmes scolaires, de la laïcité, des autorités morales et de tous ceux qui se croient le seul passé auquel le futur a droit

- Puis je voudrais vous demander d’avoir une pensée dans vos prière, non pas pour les morts en général, ce qui est barbant et distrait l’attention de l’orant, mais pour un mort particulier. Un dont, perso, je n’avais a priori rien à foutre, dont nous ne saurons jamais rien, mais dont je viens de voir la tronche dépouille par hasard et que je vous laisserai trouver tout seul plus bas…

- Enfin, ne serait-ce que par désœuvrement, vous aurez la gentillesse d’ajouter à vos prières les deux vivants-déjà-morts que sont les deux enfants de la photo ci-dessous. Déjà morts, disais-je, car morts pour l’Amour en tout cas.

Je n’ai pas voulu mettre dans mon salon plus qu’une image recadrée. En cliquant ici, vous aurez une vue plus générale. Peut-être que cela vous permettra de faire le lien que mon esprit tordu a fait entre les trois sujets de ce billet en apparence décousu. 

5 commentaires:

  1. Quelle horreur ! Désolée, je ne saurais rien dire de plus. Le choc des photos, l'inutilité des mots...

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  2. On a bien affaire a des dégénérés définitivement irrécupérables, Malheureusement, la seule solution est un nettoyage radical et sans sommations, désolé.

    Bernard de Thailande

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    1. Crusade4ever03/11/2014 14:51

      "Désolé" ? Pourquoi désolé ? Assumons nos pensées.

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  3. Mon Dieu, ne leur pardonnez pas, ils savent ce qu'ils font

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  4. Dame Ginette04/11/2014 16:38

    Horrible.........

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