"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

mercredi 31 mai 2017

Retards de chantiers…



Il y a paraît-il plusieurs demandes de permis de construire, toutes bien floues et aucune n’a été déposée, encore moins validée… Il n’y a toujours pas de devis et aucun maître d’œuvre présent sur le marché ne semble convenir aux maîtres de l’ouvrage…

lundi 29 mai 2017

Moralisation, piège à cons !



Certains pensent tabous et totems (ou printemps…), d’autres se réfèrent à Carl schmitt et à son ordre de succession des secteurs dominants. C’est toupareil. A chaque époque surgissent de nouvelles neutralités, c’est-à-dire de concepts allant de soi, faisant autorité et que nul ne peut contester sans être mis au ban de la société. Ça a commencé par le concept de Dieu, ça s’est poursuivi en (très) gros par les trois états qui ont engraissé les droits d’auteur d’Auguste Comte et ce n’est pas fini.
On notera que ces neutralités dominantes successives ont toujours été justifiées par la foi (théologie, métaphysique, etc.) L’acuraba de base pense naïvement que le positivisme nous a libéré de ces résidus anciens. Il n’en est rien. Il s’agit toujours de foi en l’économie, de foi en la technique. L’objectif final poursuivi a été occulté par la manière de l’atteindre. Et c’est l’outil retenu pour l’atteindre qui a pris la place de l’objectif comme divinité incontestable sauf à être coupable de blasphème…

A cet égard, on observe de nos jours le succès rencontré par certaines divinités secondaires de la théogonie actuelle. Parmi celles-ci, je pense tout de suite aux Valeurs de la République et à la Société Civile qui bénéficient de cultes indiscutables et indiscutés avec pèlerinages et fêtes votives dont nul ne saurait s’exonérer. Vous noterez d’ailleurs que même leurs grands prêtres les plus érudits se gardent bien d’en donner une définition ; le fait même d’avoir l’air d’oser tenter d’en demander une vous rend suspect de mécréance, ce qui confirme leur caractère sacré. Mais je m’égare.

Parmi ces neutralités dominantes de saison, il y en a une autre dont toulemonde psalmodie les cantiques de louange dans toutes les chapelles : La moralisation de la vie publique. Or, d’Alexandre de Macédoine à Clovis, de Richelieu à Churchill, de Cyrus II en 550 avant JC à François Hollande, dites-moi un peu ce que la morale a à voir avec la politique ?  Hein ?
Mais bon ; vous en voulez ? Vous en aurez…

Et, bien entendu, pour aller au combat la fleur au fusil vers cette nouvelle Jérusalem terrestre ("L’an prochain à Jérusalem la Morale !"), il faut aplanir des montagnes. C’est ainsi que la question majeure, incontournable, qui domine cette année la campagne de la Grande Election à trois tours (le 2° des 4 étant purement rituel) n’a été ni l’identité nationale, ni l’immigration, ni le chômage, ni l’Europe, ni la dette, ni les retraites, ni les réformes structurelles, ni même l’âge du capitaine. Le seul combat tactique objet de toutes les attentions, c’est la lutte contre les conflits d’intérêts !

Je pourrais en profiter pour bavasser sur Richard Ferrand après bien d’autres. Mais non. Ce que je retiens de la place majeure donnée à la chasse aux conflits d’intérêts dans les "programmes de gouvernement" comme dans les "soucis" de la Presse, c’est la preuve a contrario qu’ils n’ont rien d’autre à dire, à proposer, à défendre… Et donc qu’on ne sait toujours pas où on va…

dimanche 28 mai 2017

Accord de Paris post G7…



Ben oui. Elle a beau être allemande et "du peuple", il n’est plus motorisée par notre regretté Pédalo…