"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

mardi 24 septembre 2019

Que retenir pouvant symboliser cette rentrée ?



3 trucs pris (pas vraiment) au hasard :

- Vous connaissez Roland Lescure ? Non ? Cépagrave. Pourtant ce n’est pas n’importe qui ! Fils d’un journaliste à l’Huma, demi-frère de Pierre Lescure (radio, télé et toutes ces sortes de choses…), c’est un polytechnicien, vous savez… Après avoir travaillé à Bercy et à l’INSEE, il a fait une brillante carrière au plus haut niveau dans le plus important fonds de pension du Canada. A 50 ans, il a pris la décision courageuse de mettre ses compétences au service de la Nation en se lançant en politique. Dans le sillage macronien, il a donc été élu haut-la-main député de la 1° circonscription… des français de l’étranger (euh… avec les voix de 9,8 % des inscrits…).

Mais pourquoi vous causer de cette pointure, Président de la commission des affaires économiques de l’A.N. et rapporteur général du projet de loi PACTE ?
Parce que, devant participer l’avant-dernier lundi à un colloque sur Jacques Chaban-Delmas et n’y étant pas allé, il a expressément justifié son absence en déclarant que :

« la parité n’était pas respectée dans la table ronde où il devait s’exprimer. »

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- Dans la série Stéphane Bern – Journées du Patrimoine – Psychodrame du portefeuille UE "protection de notre mode de vie européen" – etc., je relève une anecdote qui n’est pas un fake :

Le théâtre du château de Fontainebleau a été entièrement restauré grâce au chèque de dix millions d’euros d’un fonds souverain d’Abou Dhabi. Bon. Mais n’oubliez jamais que c’est celui qui paie qui commande… Ce chef d’œuvre du style bourgeois du Second Empire s’appelle désormais :

" Théâtre Cheikh Khalifa bin  Zayed al Nahyan "

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- Ah oui ! j’allais oublier…

Avec Ségolène, grâce à Philippe Muray nous avions le sourire à visage humain.
Hélas, on n’arrête pas le progrès.

    


Le robot à visage humain ?





 




 


 La haine à visage humain ?