"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

samedi 30 décembre 2017

Le couronnement de l’an 2017…



Comme chaque année revient le classique marronnier, véritable pensum, consistant à élaborer une rétrospective de ce qu’il faut retenir de l’année. C’est trop de boulot et, surtout, c’est une facilité qui permet aux pisse-copies professionnels de noyer le poisson en multipliant les arbres et décors en carton pour cacher la forêt-qui-fâche… Bien sûr, le cyborg-Macron a tout mis cul par-dessus tête mais est-ce le plus important, regardé sur la longue durée ? Bien d’autres évènements sont aussi venus nous mettre du flou dans la vision…

J’ai donc préféré rechercher quelque chose qui me semble couronner, concrétiser, symboliser tous les efforts déployés durant cette année par nos con-citoyens en faveur du progrès de l’avenir de l’espèce.

Konzentrationslager für Frauen
Dans cet ordre d’idée, nos voisins allemands feront très fort demain soir : à Cologne comme ailleurs, ils n’ont pas formellement prévu de couvre-feu obligatoire pour les femmes (pas encore) mais leur ont vivement conseillé de ne pas sortir… Mieux : Ils ont prévu pour elles des "espaces sécurisés" où nos compagnes, bref la moitié de l’espèce, pourront si besoin se réfugier, parquées derrière des grillages, sinon des barbelés… Mais à leur demande, hein…

Mais c’est chez les mangeurs de choucroute et j’ai préféré illustrer cette année 2017 par quelque chose d’à la fois plus franchouillard et plus universellement occidental :    

Blackface, Whiteface…

Je reviens donc sur l’image choquante que, histoire de meubler, j’avais affiché céans le 22 décembre. Je ne veux bien sûr pas parler de la réclame pour le savon qui, comme Persil, lave plus blanc un demi-siècle plus tard. Celle-là, il lui sera beaucoup pardonné pour son parfum nostalgique du temps-béni-des-colonies... Non, je reviens sur l’autoportrait d’un certain Griezmann [dont j’ignorais tout jusqu’alors] qui a si bêtement cru rendre hommage aux Harlem Globetrotters en se passant l’épiderme au cirage. Il mérite d’ailleurs d’être félicité pour la qualité de son grimage parfaitement réussi. Mais bon.

Avant-hier, me trouvant dans le centre-ville de Bruxelles, je me suis surpris à dire que c’était noir de monde… Oups ! Heureusement, il n’y avait autour de moi que des leucodermes et des Japonais…
J’ai évidemment repensé à ce pauvre Griezmann et à tout ce qu’il a ramassé sur la gueule. Et je me suis souvenu d’un mien billet de… 2010. Il était consacré à un projet d’affiche réalisé par une classe de lycée technique pour un concours organisé par l’Education Nationale. Non seulement cette affiche avait obtenu le premier prix avec les félicitations du jury, mais elle avait bénéficié de tirages en affiches quadrichromie payées par le budget du Rectorat et diffusées dans tous les lycées de l’Académie…

Bien que vieille de bientôt huit ans, je retiens cette affiche car elle me semble illustrer, couronner, concrétiser, symboliser à la perfection tous les progrès réalisés par l’humanité notre société au cours de cette année qui s’achève : 


mardi 26 décembre 2017

Où sont les "fêtes de fin d’année" ??



Ils s’escriment à caviarder partout le mot "Noël" pour ne pas chagriner deux douzaines d’hystériques et quarante pelés. Pour ça, ils font beaucoup de bruits et s’autofinancent via leur "envie de pénal" que "l’Etat-de-drouât" leur passe à tous les coups, un peu comme des parents indignes passent par lassitude tous les caprices à de sales mômes mal élevés…

Heureusement, commerçants, épiciers, publicitaires et communicants travaillant pour le "secteur marchand" compensent sans-faire-exprès la discrétion, voire le manque de tonus, des ecclésiastiques.
Il suffit de passer en revue les "Unes" de la presse quotidienne de la veille du 25 décembre :


Ah oui ! Heureusement que les deux pisse-froid sauvent l’honneur et font de la résistance :