Ils s’escriment à caviarder partout le
mot "Noël" pour ne pas chagriner deux douzaines d’hystériques et
quarante pelés. Pour ça, ils font beaucoup de bruits et s’autofinancent via
leur "envie de pénal" que "l’Etat-de-drouât" leur passe à
tous les coups, un peu comme des parents indignes passent par lassitude tous
les caprices à de sales mômes mal élevés…
Heureusement, commerçants, épiciers,
publicitaires et communicants travaillant pour le "secteur marchand"
compensent sans-faire-exprès la discrétion, voire le manque de tonus, des
ecclésiastiques.
Il suffit de passer en revue les "Unes"
de la presse quotidienne de la veille du 25 décembre :
Ah oui ! Heureusement que les deux
pisse-froid sauvent l’honneur et font de
la résistance :
toute honte bue , j'ai du mal à y croire
RépondreSupprimerpourtant vous me connaissez, toujours prêt à envisager le pire du pire et même au delà
mais là , là !