Dans le prolongement de la journée internationale de
la Santé Mentale (que vous n’avez sûrement pas raté le 10 octobre
dernier), après la Journée sans tabac, la Journée sans voitures, la
Journée de la Jupe, etc., il est urgent, nécessaire et indispensable
pour la survie physique et mentale de l’espèce d’instituer sans délai une Journée
sans COVID !
Bien sûr, souhaitant éviter la prison ferme, je ne réclame
pas une pause où les tests et vaccinations seraient suspendues. Chacun
pourra continuer à son gré à sacrifier aux barrières et toutes ces
sortes de choses… J’suis légaliste, hein !
Mais, par pitié ! Un jour, rien qu’un jour, pendant la
trêve des confiseurs, une seule où la déclinaison covidienne sous toute ses
formes sera interdite sous peine d’amende sur les chaînes télé, sur la première
page des journaux, dans les dépêches AFP, sur les sites d’information…
Et une journée sans Macron, sans recettes de réveillon, sans Jingle bells, sans campagne électorale sans etc, c'est ça qui serait bien.
RépondreSupprimerUne journée sans Delphine Jubilatoire et la recherche de son pauvre corps martyrisé ?
RépondreSupprimerNon !
Il est impératif, c'est même un devoir sacré, de mettre au jour le témoignage des violencefaitzofamms !
Et tant pis si c'est pas son mari qui l'a liquidée, il servira d'exemple aux autres