Euh…
« -
Qu’ils viennent me chercher ! »
-Tu t’en
souviens, Manu ? C’était le 24 juillet dernier. Les toutes premières
emmerdes benallesques qu’on osait te faire depuis l’Election. Ça t’avait énervé
et tu avais dit ça. Et l’auditoire devant lequel tu l’avais dit était déjà tout
un symbole : Dans une cour fermée, tu t’adressais à tes députés LREM, ton gang, quoi ! A la première contrariété,
le masque tombait déjà : J’ai les Institutions et ma majorité assurée pour
cinq ans, mélanges de prébendiers et de naïfs imbéciles. Alors, qu’ils viennent me chercher !
Ils ? Tous, à commencer par ceux
qui ne sont rien... Ouais…
Ce
soir, il n’y aura plus personnes dans la boîte. Il est seul dans les douches…
« Ils »
arrivent…
J'adore votre humour! Dommage que vous vous fassiez si rare...
RépondreSupprimerMerci ! Et vous êtes bien indulgente... Hélas, si l'humour se fait rare, c'est l'âge, les soucis de santé et... la lassitude...
Supprimeril fallait écrire
RépondreSupprimert'en souviens tu, manu?
très archaïque, mais assez musical
alors que là, tu t'en souviens, manu, ça n'a aucune sonorité, c'est tout plat
Bon, ok. ok. Z'avez farpaîtement raison. Soyez indulgent avec un quasi grabataire ankylosé depuis plus d'un mois dans une croisière hospitalière à durée encore indéterminée...
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