Bon. En dépit de diverses
contrariétés*, il est l’heur de vous
adresser mes vœux. Il s’agit là d’un exercice récurrent qui devient lassant,
avouons-le, mais qui est de tradition.
Tradition qu’il est impératif de conserver et de défendre car il s’agit d’une coutume. Or, pour paraphraser Jacques de
Guillebon, si nauséelites n’ont pas
de coutumes mais des principes (hum…), le peuple, lui, n’a pas de principes mes
des coutumes…
Et quand tout fout le camp, les
coutumes sont avec la common decency
chère à Michéa les seuls liens qui tiennent encore liés ensemble des individus et groupes n’ayant pas les mêmes
principes au sein d’une manière positive de vivre ensemble qui n’a rien à voir
avec le Vivrensemble™. Mais je
m’égare…
Mes vœux, donc. Exercice lassant
disais-je. Pour moi, certes, mais sans doute aussi pour ceux qui les lisent (santé, bonheur, etc.) Je vais donc me contenter de vous
souhaiter à tous de connaître au cours de cette année de vrais instants de Bonheur, car le bonheur
n’est jamais un état permanent. Ni une fin en soi ; le serait-il qu’il ne
conduirait qu’au néant. Pour le reste, depuis le temps, vous qui passez par ici
savez tous ce que je vous souhaite, ce que je nous souhaite… Du plus (présumé) suranné au plus nauséabond… Je
vous fais donc la grâce de ne pas m’étendre…
Conservez-vous.
*
Merci pour vos vœux. Je vous adresse les miens, les meilleurs, en retour...
RépondreSupprimerAu vu de votre "cadeau", puis-je vous souhaiter également un prompt rétablissement ?
Je vous le souhaite de tout cœur !