Accessoirement pour le Pape François,
mais surtout pour tous les "modérés-raisonnables" qui, Dieu sait,
sont légions comme le Prince de ce monde :
« Ce besoin, sous
prétexte de charité, de ne pas contredire et de n’être pas contredit, de ne pas
faire souffrir et de ne pas souffrir, de ne rien brusquer et de n’être pas
brusqué, est un poison lent qui dévirilise les cœurs goutte à goutte. Ils y
perdent le sens de l’affirmation, la nudité du regard, et ce goût du
dépaysement qui aguerrit à l’imprévu de la vie. »
« Même les lâchetés
intellectuelles se ramènent souvent à la peur des coups : Les idées
faibles se servent des salons, les idées passionnées aiment à se servir des
poings. »
Emmanuel Mounier
– L’Affrontement chrétien (1944)
Effectivement.
RépondreSupprimerEn considérant que "François" est bien un pape...
Ce qui n'est pas évident à démontrer !