"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

samedi 13 juin 2020

Drapeau en berne...


Le Royaume d’Araucania et Patagonia est en deuil.



Jean Raspail est mort.

Il nous a quitté aujourd’hui, à 94 ans, pour aller continuer sa route autrement. Je pense qu’il doit dorénavant être parti avec Antoine de Tournens et les sept cavaliers chevaucher hors de la Cité puisque la porte sud n’est plus gardée
Chevaucher sûrement dans les grands espaces de ce Royaume qu’ignorent tant de guignols, mais qui existe vraiment "quelque part"... En nous…  

   



lundi 1 juin 2020

Convergences des luttes…


Manifestation de sans-papiers à Paris (sans doute dix avec distanciation sociale)

Qui me fera croire que les clandestins, pardon les "sans-papiers", tous seuls comme des grands, veillent scrupuleusement à grapher leurs banderoles en écriture inclusive ? Ce pourrait être, il est vrai, une preuve irréfutable de leur souci d’intégration à la société française ! (euh… celle d’aujourd’hui, dit-on) Perso, j’ai des doutes…
Mais cela m’a au moins donné un petit moment assez jouissif (à mon âge, on se contente de peu) Tout en sirotant mon café devant mes montagnes, moi qui suis un "visuel", je me suis représenté la scène ; imaginée avec force détails, travellings et gros plans :
Avant le départ du cortège, le spectacle offert, avec taches d’encre et bombes à peinture, par une grappe de leucodermes, groupies antifa, chaisières de paroisses ou de chez EuEuèLVé, de gouines et autres genres, souvent du genre à se faire mettre le samedi soir par tous les vérolés du Congo… Une grappe d’icelles, donc, courbée sur l’ouvrage, en train de calligraphier laborieusement en respectant consciencieusement leur orthographe, les banderoles qu’elles vont offrir gratos aux manifestants amusés n’en ayant rien à foutre…

Cette rêverie fut pour moi un moment de doux bonheur…