"J'adore mon pays, j'adore les Bafana Bafana et je suis fier d'eux"
(un employé de nettoyage à Bloemfontein)
Ce soir, nous serons tous des africains !
Commentant sur un autre blog, je disais hier qu’il revenait à la FFF ou à je ne sais laquelle de ses huiles dirigeantes de déclarer forfait devant l'Afrique du Sud et "de rentrer tout ce joli monde à Paris où chacun prendra un taxi à ses frais pour rentrer chez lui" Que "ce serait ça l'honneur de la France et de "l'équipe". Point barre.
C’eut été le minimum absolu de micro-panache à afficher pour avoir au moins tenté (vainement) de sauver la fa[r]ce…
Dernier panache d’un Cambronne, quand tout est perdu, crachant son mot pour l’Histoire face aux ennemis ; c’est à dire, cette fois-ci, en se retournant et en s’adressant à ses troupes…
NON. Au lieu de çà, Domenech, petit laquais la queue entre les jambes, vient bredouiller devant le monde entier : "- Bien sûr, on y va. Mais, ben euh… y en a, m'sieur, qui vont peut-être pas vouloir…"
Vivement que les Bafana Bafana explosent le record de score de la compétition (pour l’instant 7 à 0 je crois…) Que nous puissions ce soir dans la rue (sans être soupçonnés de …) entonner (à peu près) ce très vieux chant guerrier :
"- C’est nous les africains qui revenons de (pas très) loin…"
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