"La montée en puissance d’un fort sentiment
identitaire hétérosexuel, avivé par les sarcasmes de la majorité morale gay et
féministe au pouvoir, pourrait être une des clefs de l’élection présidentielle.
Reste à savoir qui, des deux candidats, saura le mieux séduire les hétéros."
DSK, il est vrai, incarnait jusqu’à l’excès les légitimes
aspirations des hétéros les plus radicaux,
électorat désormais orphelin de son candidat naturel. A qui profitera son retrait suite à de malencontreuses saillies, causes de diverses affaires pendantes ?
Le
vote hétérosexuel fera-t-il la différence ?
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Je tiens à vivement remercier Elisabeth Levy d’avoir un l’intelligence,
le courage et le discernement, blabla etc. de relayer dans la dernière livraison
mensuelle de Causeur six pleines
pages d’enquêtes et débats pompées dans l’indispensable QUI CHOISIR, revue de
défense du con-sommateur éditée de façon oh combien apériodique, aléatoire et
confidentielle par l’excellent Basile de Koch. Je ne peux que vous inviter à
vous y reporter…
En fait, il y a, pour l'instant, plus d'hétéros que de pauvres, de chômeurs, d'issus de l'immigration, ou de toutes les catégories qu'on s'efforce de séduire. Comment expliquer, cela étant, qu'aucun candidat ne se soit présenté comme leur candidat ? De peur de choquer la minorité homo ? J'avoue ma perplexité !
RépondreSupprimerC'est de Lévy, le texte que vous citez entre guillemets ? Je suis incapable de trouver quelque chose de précis sur Causeur : il est tout mal foutu, ce site.
RépondreSupprimerNon, c’est de Basile de Koch, la suite aussi mais sans guillemets, l’ayant "enrichi" à ma façon. Je ne l’ai pas trouvé non plus dans le fouillis de la page d’accueil de Causeur.fr C’est dans leur mensuel papier sur abonnement d’avril que j’ai reçu ce matin. Il y en a 6 pages du même tonneau assez jouissives…
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