Ça n’a pas raté ! Dès le 25
décembre en début d’après-midi, les sites de "e-commerce" généralistes
se sont précipités - tant la concurrence est rude - pour accroître leur part de marché sur le
créneau en plein développement de la revente
des cadeaux non désirés.
Chez moi, cette année, c’est Mr PriceMinister qui a été le plus rapide à
me proposer ses services, alors-même que ça doit faire au moins cinq ans que je
ne me suis plus adressé à lui (pour un achat
ordinaire, je précise…)
Il y a là, n’en doutons pas, des gisements
de croissance considérables pour de nouveaux business-plans de nature à
conforter le produit intérieur brut. La livraison sous emballage-cadeau d’origine
non défait avec la ficelle à gâteau dorée non froissée serait éventuellement un
bonus valorisable pour le prix de revente nonobstant le risque de trouver
dessous la carte de Noël kitch amoureusement calligraphiée par la tante
Adelaïde pour le petit Kevin, le sale môme de sa belle-sœur. Mais cépagrave.
Le goût de la spéculation et le succès
non démenti des produits de la Française des Jeux pourraient aussi, pourquoi
pas, susciter dès la rentrée de septembre un marché animé de vente et achat à
terme de cadeaux espérés (financièrement espérés…)
Mais bon, restons sérieux. Qu’allez-vous
essayer de revendre de tout ce qu’on vous a forcé à acheter à l’approche "des
fêtes" ?
Et combien espérez-vous en tirer ?
Perso: même reçu en double, ça ne me viendrait pas à l idée d'aller refourguer un truc que l on m a offert la veille
RépondreSupprimerBoa l'aut', hè ! Deux fois 1,60 m de plumard, quel pied !
Supprimer??
Supprimerje touve ça très mal élevé et insultant pour celui ou celle qui a fait l'effort de chercher un truc pour faire plaisir; mais c'est l'époque des trous du c...
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