"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

samedi 1 avril 2017

Epuration et ménage de printemps…



Pris en Conseil des Ministres ce dernier mercredi, signé sur le champ par le Président de la République au titre de l’état d’urgence et de la lutte contre l’islamophobie, et publié ce jour au Journal Officiel, le décret n° 2017- 628-421 du 01/04/2017 entre en vigueur sans délai.
Celui-ci prévoit notamment l’effacement de toutes références à certains individus dans les manuels scolaires, dans toutes les publications et ouvrages, y compris historiques, philosophiques ou scientifiques ainsi que la destruction des œuvres dont les dits individus ont été les auteurs. Cette obligation d’ordre public s’applique à tous fonds documentaires publics ou privés comme aux collections des particuliers, y compris à la Bibliothèque Nationale. Un des alinéas du décret n’oublie pas de prévoir le retrait en toute discrétion du Panthéon de la dépouille d’un de ces individus qui s’y trouve (il n’y en a heureusement qu’un sur le lot ; une erreur peut arriver à tout le monde)
____

NDLR : Pour faciliter votre compréhension, le Ploukèm’ a fait l’effort d’aller vous chercher dans l’œuvre souvent considérable de chacun des quatorze individus concernés quelque chose pouvant motiver cette décision régalienne qui a déjà trop tardée à être prise :

« Quand Mahomet promet aux siens un paradis tapissé, paré d’or et de pierreries, peuplé de garçes d’excellente beauté, de vins et de vivres singuliers, je vois bien que ce sont des moqueurs qui se plient à notre bêtise pour nous emmiéler et attirer par ces opinons et espérances, convenables à notre mortel appétit. »
(Montaigne / 1533 – 1592) 

« L’islam ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers. »
(Bossuet /1627 – 1704)

« C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée [...] Pendant que les princes mahométans donnent sans cesse la mort ou la reçoivent, la religion, chez les chrétiens, rend les princes moins timides, et par conséquent moins cruels. Sur le caractère de la religion chrétienne et celui de la mahométane, on doit, sans autre examen, embrasser l’une et rejeter l’autre : car il nous est bien plus évident qu’une religion doit adoucir les mœurs des hommes, qu’il ne l’est qu’une religion soit vraie. C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de    glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée. La religion des Guèbres rendit autrefois le royaume de Perse florissant ; elle corrigea les mauvais effets du despotisme : la religion mahométane détruit aujourd’hui ce même empire. »
(Montesquieu / 1689 – 1755)

« Il est à croire que Mahomet, comme tous les enthousiastes, violemment frappé de ses idées, les débita d’abord de bonne foi, les fortifia par des rêveries, se trompa lui-même en trompant les autres, et appuya enfin, par des fourberies nécessaires, une doctrine qu’il croyait bonne. »
(Voltaire / 1694 – 1778)

« Les imams et les muphtis de toutes les sectes me paraissent plus faits qu’on ne croit pour s’entendre ; leur but commun est de subjuguer, par la superstition, la pauvre espèce humaine. »
(d’Alembert / 1717-1783)

« La religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire. »
(Condorcet / 1743 – 1794)

« Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet. »
(Chateaubriand / 1768 – 1848)

« Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme. Je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde. »
(Arthur Schopenhauer / 1788 – 1860) 

« Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte. »
(Alfred de Vigny / 1797 – 1863)

« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections de cour du côté de l’intérieur de la famille. [...] J’ai beaucoup étudié le Coran. Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman. Je la regarde comme une décadence plutôt que comme un progrès. »
(Alexis de Tocqueville / 1805 – 1859)

 « Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise la Mecque, et que l’on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme. »
(Gustave Flaubert / 1821 – 1880)

« L’islam est contraire à l’esprit scientifique, hostile au progrès ; il a fait des pays qu’il a conquis un champ fermé à la culture rationnelle de l’esprit. [...] Mahomet nous apparaît comme un homme doux, sensible, fidèle, exempt de haine. Rien de moins ressemblant à cet ambitieux machiavélique et sans cour. [...] Toute sa conduite dément le caractère entreprenant, audacieux, qu’on est convenu de lui attribuer. Il se montre habituellement faible, irrésolu, peu sûr de lui-même. M. Weil va jusqu’à le traiter de poltron ; il est certain qu’en général il avançait timidement et résistait presque toujours à l’entraînement de ceux qui l’accompagnaient. Ses précautions dans les batailles étaient peu dignes d’un prophète. [...] Le plus mauvais état social, à ce point de vue, c’est l’état théocratique, comme l’islamisme et l’ancien Etat pontifical, où le dogme règne directement d’une manière absolue. [...] L’islamisme ne peut exister que comme religion officielle ; quand on le réduira à l’état de religion libre et individuelle, il périra. L’islamisme n’est pas seulement une religion d’État, c’est la religion excluant l’État. [...] Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que quand le dernier fils d’Ismaël sera mort de misère ou aura été relégué par la terreur au fond du désert. L’Islam est la plus complète négation de l’Europe ; l’Islam est le fanatisme. [...] L’Islam est le dédain de la science, la suppression de la société civile ; c’est l’épouvantable simplicité de l’esprit sémitique, rétrécissant le cerveau humain, le fermant à toute idée délicate, à tout sentiment fin, à toute recherche rationnelle, pour le mettre en face d’une éternelle tautologie : Dieu est Dieu… »
(Joseph Ernest Renan / 1823 – 1892)

« Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? D’une manière générale, non. Dans cette foi, le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non-musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non-musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve. »
(Charles de Foucauld / 1858 – 1916)

« Je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec l’islam et cette impression n’a fait que se préciser et s’affermir depuis. »
(Hermann von Keyserling / 1880-1946)

4 commentaires:

  1. Bonjour, je ne trouve pas ce décret sur le J.O. Pourquoi ne pas mettre un lien ? Bon week end. Lavallière

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C’est bien la preuve que ce site auquel le Decodex refuse toujours la gloire de sa médaille rouge en dépit de son incommensurable audience est une source incontinente de "fake news" !
      Au demeurant, les experts autorisés vous diront que les 14 citations reproduites, toutes aussi véridiques les unes que les autres, sont à l’évidence "sorties de leur contexte"…^^

      Supprimer
  2. Poisson d'avril!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ouf ! En espérant que ce ne soit pas une sinistre augure...

      Supprimer