En
ce jour où le drap de lit tricolore on-ne-sait-plus-trop-pourquoi de l’Elysée a
été mis en berne et-ça-pourquoi-on-le-saura ; en ce jour où le les radios et télés de
service comique ne causent que de ça ; en ce jour d’adieu (snif) à un "géant" (putain ! le vide maintenant…) qui couvre plus de 50% de la surface
des unes de la presse ; où le
Progrès de Lyon évoque la perte de la "conscience
de l’humanité" ; le jour où… toussa…
Bref,
en ce jour où, prévenu à temps, ma volonté a su être plus forte que ma
curiosité et m’a mis à la diète de radio
pour reposer mes coronaires ; en ce jour, donc, je vous invite à honorer comme moi la mémoire
de Celui dont je tairai le nom pour ne pas en rajouter encore, Celui à qui nous devons d’avoir pu passer un jour sans entendre le Saint nom
de Taubira…
Et
en ce jour, pour illustrer ce billet d’une densité annonciatrice du grand vide
qui nous attends désormais, j’ai choisi une œuvre figurative dont la profondeur
ne vous échappera pas :
« "Philosophie sous le baobab"
– Conversation entre Nelson M. et Aimé C. par une nuit de nouvelle Lune dans le
tunnel du Mont-Noir un jour de panne électrique et de grève des douaniers
Burkinabé » Huile de palme sur toile de jute (240x320) marouflée sur bois
d’ébène. Œuvre de Boubakar Tamabou en résidence au Palais de Tokyo. Acquisition
du Fond Régional d’Art Contemporain de Midi-Pyrénées en exposition permanente
aux Abattoirs.
Ahhhhh ! Ça fait du bien aux abdominaux, merci !
RépondreSupprimerCoach Berny
La page est noire !? Ecoutons Bernard Lugan au sujet de cette arnaque Mandela !
RépondreSupprimerBel exemple de racisme anti-blanc (celui qui n'existe pas)
RépondreSupprimerYes, ça Soulage !
RépondreSupprimerBravo, Corto ;-)
Supprimer@ le plouc : je n'ai trouvé nulle interviou de Césaire par Monfort :-(
Ah bon ?
SupprimerUne oeuvre qui préfigure bien l'avenir de l'Afrique du sud:noir ,de plus en plus noir.
RépondreSupprimerHaha j'ai cru que c'était un problème de mon lecteur flash mais non.
RépondreSupprimerApparemment notre cher Mandela avais une face sombre de son histoire (que nos amis lèche subvention n'en parlera pas)
Je remercierai jamais assez Bernard Lugan pour ces fines analyses:
http://bernardlugan.blogspot.fr/
Tiens un Soulage ça soulage ! merci
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup l'intitulé de l'oeuvre
RépondreSupprimerEt surtout l'addentum "acquisition du FRAC midi Pyrénées en expo permanente aux abattoirs"
C'est du vécu, ça
Mais au bout du compte c'est nous qui allons à l'abattoir.....
Enfin, plus pour longtemps, la connerie crasse de nausée/lites commence à faire réfléchir le bas peupleu, celui auquel on s'adresse mais à qui on ne cause pas..... Car sinon ce serait du, oui, du populisme !.....
Y a plus que les convaincus à croire à tous ces trucs, célébration de machin, mort de grands hommes, phares de la democrature
Comme disait Murray, les personnages sont là, le décor est toujours là, mais quelque part ça mouline à vide, ça remâche mécaniquement, comme un phonographe dont le disque est arrivé au bout.....