Putain,
ce que je me marre !
Euh…
En fait pas vraiment. Mais quand la bête
(l’Etat, son vivrensemble™, son "légal",
ses gngnphobies, toussa…) qui patauge
dans sa schizophrénie à un stade quasi terminal s’emmêle les pieds de son
déambulateur dans le tapis et qu’il nous impossible de lui porter secours, il
ne reste qu’à en rire nerveusement.
Sachant
que Peillon avec sa Révolution à finir, Belkacem avec son mascara à paupières
et tout le reste de la clique accélèrent l’introduction du genre à l’école pour redresser le classement PISA.
Sachant
que l’OMS vient de sortir un guide intitulé
“Normes d’éducation sexuelle en Europe”
pondu avec vos sous. Qu’après avoir rappelé au passage que l’État est la
"source formelle" et "scientifique" de l’éducation des
enfants et que les parents ne sont que des “sources informelles”, ce guide
recommande notamment qu’outre l’exploration particulière le plus précoce
possible de ses propres organes génitaux, l’enseignement doit, dès l’âge de
quatre ans, "explorer les relations du même sexe" et "consolider
l’identité de genre".
Et
informer dès l’âge de neuf ans sur le recours aux contraceptifs et la pratique
de l’avortement….
Sachant
la densité des visuels
systématiquement érotisés présents partout.
Sachant,
enfin que l’article 6 d’une loi de 2007, repris d’une loi de 1987, interdit la
vente d’objets et matériel pornographique à moins de 200 mètres d’un
établissement scolaire. Et que cette loi n’avait jamais été appliquée…
Malgré
tout, comme le clébard ne voulant pas lâcher la cheville du facteur, deux
assocs’ (d’affreux
cathos, évidemment) sont
allés au bout de leur nauséabonde hargne teigneuse contre un pauvre tenancier
de sex-shop ayant ouvert boutique à 90 mètres du collège Saint-Merri à Paris
dans le VI°.
Contraint
par la loi, les décorateurs de mur du
siège, n’ont pas pu faire autrement que de condamner le malheureux. Et, la
loi étant la loi, leurs collègues de la Cour viennent un an après de confirmer sa
condamnation en appel.
Sachant
que la loi prévoit pour ça, dans la pire des hypothèses, un plafond de peine de
2 ans de prison et 30.000 € d’amende, vous noterez que le jugement qui vient d’être
confirmé se contente de reconnaître la culpabilité du prévenu mais… le dispense
de peine et le condamne à verser 1 € symbolique de dommages et intérêts aux
deux associations qui l’avaient assigné.
Commentaire
de l’avocat relayé par Libé comme par le Figaro :
"- L’ordre moral gagne du terrain et
avance masqué"…
Au secours !
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