En
ces temps où la Fwance s’inquiète (paraît-il) des bruits de bottes de la zemmourization pathologique des esprits, où les braves gens voient (dit-on) une lueur d’espoir incarnée par la
mère Aubry, où Fabius résume la politique étrangère à la prise de température
dans les aéroports, etc., il est indispensable de rassurer les Français.
Aujourd’hui,
donc, comment redonner un peu de fierté aux Fwançais en général et aux
parisiens en particulier sinon en leur rappelant que Paris est la ville de tous les chefs d’œuvre ? L’occasion m’en
est donnée par les inaugurations de la fondation Vuitton et du musée Picasso que je vous avais déjà annoncées en avant-première.
Je
trouve d’ailleurs que Le Parisien,
que je salue, a eu raison d’en faire sa Une
ce matin. Mais pourquoi, avec un tel titre ne va-t-il pas plus loin ? Il n’y
a pas que des valoches, un artiste ibérique et la Sainte-Chapelle comme chefs d’œuvres,
que diable !
(ne serait-ce que
notre vie politique que le monde nous envie, mais bon…)
Bon,
je m’y colle puisqu’il faut que je fasse tout moi-même ici… J’ai subjectivement
retenu pour la beauté du geste l’éphémère place Vendôme, la cour du
Palais-Royal et le parvis de l’église Saint Merry :
Un instant j'ai crû que le code-barre en bas à droite était un des chefs-d'oeuvre, influencé que j'étais par la ressemblance avec les colonnes de Buren...
RépondreSupprimerC'est vrai qu'il y a de quoi troubler le lecteur -de code-barres, justement.
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