Dans la série "Recueil des conneries
symptômes psychiatriques accessoires" observés chez les résidents de l’immense
asile pour malades mentaux qu’on appelle communément l’OCDE je crois, je suis
tombé par hasard sur une de ces petites éruptions de pustules d’un genre devenu
si banal qu’on ne les remarque plus. Pourtant, les diafoirus qui soignent les pensionnaires internés d’office
semblent y voir un complément thérapeutique d’un grand intérêt et souhaiteraient
en inoculer le germe à tous et partout.
Résumons. A Dortmund (580.000 habitants) dans la Ruhr, les élus socialistes et écologistes (plus de
60% des sièges au Stadtrat du Landkreis) veulent que… 50% des feux tricolores de
la ville représentent désormais des femmes. Bien sûr, comme nous sommes
modernes la chose n’est pas nouvelle ; elle s’est déjà répandue, çà et là
et jusqu’en Nouvelle Zélande, mais toujours de manière ponctuelle au gré des
occasions. Bien sûr aussi, pour faire avaler budgétairement la chose, nos
Schleuhs roses et verts-rouges-dedans tolèrent que les oculaires des feux ne
soient féminisés qu’en cas de réparations de l’existant et pour les
installations nouvelles. Mais la mise en place de pictogrammes femelles sera
systématique jusqu’à l’obtention d’une parité parfaite 50/50 du parc installé.
Il est certain qu’en cas de nombre impair on investira dans un feu superflu de
plus pour faire le compte, un peu comme pour les ministres du gouvernement
français. Ou alors on confectionnera peut-être spécialement un exemplaire unique
d’un personnage trans, bi, asexué ou que sais-je. Sauf que j’attends
de voir comment ils s’y prendraient pour représenter
"ça"… Déjà que le "symbole"
féminin retenu – avec tresse et jupette – va en scandaliser plus d’un(e). C’est
déjà fait.
Notez que pour contourner cette contrariété de l’éventuel
nombre impair, les Schleuhs savent faire. Sur leurs anciens (et
peut-être futurs) billets en Deutsch-Mark, ils avaient pris soin d’alterner des portraits
de personnalités mâles et femelles. Sauf que… il y en avait un nombre impair.
Sur la plus grosse coupure (pas la plus petite, faut pas déconner), ils avaient donc mis…
deux mecs. En l’occurrence les frères Grimm des contes bien connus. C’est vrai
qu’ils étaient célibataires sans enfant et vivaient ensemble. Je dis ça, je dis rien…
Mais je m’égare. Revenons aux feux tricolores.
En ces temps de crise, de déflation aux portes, de réchauffement climatique
de colonisation barbue d’immigration
de travail, de guerre froide c’est-la-faute-à-Poutine, d’Ebola et Sida, pour le
maire de Dortmund, c’est là un sujet prioritaire trrrès important. Interrogé
par la presse sur ce qu’en pensent ses administrés, à la question de savoir si
ça ne l’inquiétait pas, ce brave maire socialo a répondu "Bien sûr je suis
inquiet" mais en ajoutant en substance à peu près ceci : "Ils ne
se soucient de rien. Mais moi je me soucie pour eux tous, pour le bien de la
communauté…" Tout est dit ; il est bien socialo. Ça rassure.
Dans la même série des pathologies mentales, pas au chapitre "Horizontalité
du Fléau (de la balance)" mais plutôt dans celui "Pudibonderie
préparatoire à la colonisation coranique", je relève aussi une autre
éruption cutanée ; en Suède cette fois-ci : Je vous laisse aller la
découvrir ici
.
Ce monde de paritaristes ( c'est comme islamiste mais pour les dingos de la parité ) devient complètement taré
RépondreSupprimerLa petite fille en vert me donne sévèrement l'impression de porter un gode ceinture. C'est grave, Docteur ?
RépondreSupprimerVotre imagination dépasse l'affliction...
SupprimerJ'aime bine la version de gauche (pour une fois) à la suédoise. Un piéton qui dégage vite de ma route...
RépondreSupprimerIl fut un temps, nos "Marianne" en mairies étaient des bustes de Brigitte Bardot (jeune) assez profondément décolletés. Je trouvais ça bien.
RépondreSupprimerAujourd'hui, on voit tout et n'importe quoi. Sauf la parité en la matière.
Je propose Jean-Pierre Coffe ou Jacques Attali.
Le sexe des pendules ?
RépondreSupprimerFaut leur couper la pendeloque !
Question à régler au plus vite à Bruxelles (car notre parlement, n'est-ce pas...)