Excusez-moi. Je n’ai pas pu m’empêcher…
Le petit
capitaine du petit pédalo
Ayant hésité tout
l’été
Sur la
manière appropriée
D’inverser sa
petite courbe
Se retrouva
fort dépourvu
Lorsque la
rentrée fut venue.
Bien sûr en
des temps printaniers
Il suffisait de
bien montrer
Qu’il "en
avait", oui du jarret,
En accouplant
bien les pédales
Pour que le pédalo "pousse-tout"
Pour que le pédalo "pousse-tout"
Vogue sur la mer apaisée.
Mais sa
majesté financière
Comme nous l’avait
chantée Brassens
Marche, elle,
à voile et à vapeur,
Et même au
web, me dit-on…
Les muscles
fatiguent et fléchissent.
Comment donc
redresser la courbe ?
N’ayant encore
tout essayé,
Le capitaine du pédalo
A laissé sa
boîte à outils
Au cabinet de
Valérie.
Courageusement
il est monté
Sur son
tricycle, bien casqué.
Décidé à en mettre
un coup
Pour le
bien-être de la France,
Pour inverser
sa chère courbe
Et en
retrouver la croissance,
Il a compris
qu’il lui fallait
Pour redresser
enfin la pente
Renoncer à
son pédalo
Pour la
culotte Petit-Bateau.
Comme dit l’adage
de nos aïeux,
C’est à cette
aune que l’on mesure
La taille des
hommes dans l’Histoire :
On n’est
jamais que ce qu’on est.
Quand les
espoirs d’immensités,
De gloires
maliennes, européennes,
Hexagonales
et même normales
Se déploient
dans le seul Huitième
En se cachant
comme une verge
Sortie
mouillée, ratatinée,
De l’eau
tiède de la piscine,
On n’est
jamais que ce qu’on est.
Et pour
certains ça a beau faire
UN petit véhicule sympathique,
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