"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

samedi 11 janvier 2014

De la supériorité de l’Art sur l’actualité…



De quoi pouvoir causer en ce ouiquende ? Des distractions d’alcôve pédalonautiques d’ailleurs peut-être bienvenues pour rebondir ? De l’autre saltimbanque qui renonce à son spectacle, grande victoire acquise de haute lutte sur un coup de poker médiatique savamment calculé par le Buonaparte nouveau au pont d’Evry ? De la mort attendue de Sharon ? Cette dernière nouvelle serait sans doute la plus intéressante et enrichissante à évoquer, occasion de relire le vécu de cet homme : "L’homme, la terre et le fusil…" Mais je n’en ai ni le temps ni le courage…

Tiens ! Je me suis amusé hier soir à relire quelques vieux billets publiés ici il y a près de quatre ans (une éternité sur le net), encore aux débuts de ce blog où je m’essayais à la critique d’art en commentant des œuvres assez variées. Histoire de meubler, va donc pour une republication : Ma lecture d’une de ces œuvres extraite d’un vieux billet consacré à l’art dans la statuaire et le mobilier urbain :
 "Vénus ménopausée au sex-appeal de cigogne-vautour famélique sauvée des eaux par un ornithologue myope après le naufrage de l’Amoco Cadix.

Tout le monde peut se tromper...

Tel le taré vicelard exhibitionniste, autosexuel lubrique à la sortie des écoles, elle écarte les moignons de ses pattes atrophiées de mante religieuse, ouvrant ainsi en grand ses hardes dégoulinantes de noir bitume pour offrir ses flasques restes d’appas aux espérances avides de la jeunesse…"

Je dois dire que mes tentatives d’alors pour obtenir des piges dans quelque revue d'art ou journal que ce soit n’ont pas été couronnées de succès. Il est vrai que je n’avais pas fait beaucoup d’efforts…   

2 commentaires:

  1. Pas de fausse modestie, vous étiez déjà talentueux.
    (non, vous ne me devez rien)

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  2. Eh bien je vois que vous êtes gâté question environnement artistique. Chez nous il y a salle des mariages une marianne qui vaut son pesant de cacahuètes. Complètement dépoitraillée avec des seins visiblement en silicone et les traits inspirés du portrait de Voltaire. Mais au moins on ne la voit que lorsqu'on se rend à un mariage.

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