Regardez
comme elle est belle cette Une de Libé qui n’en rate jamais une…
Le
graphiste a bien travaillé puisque j’en ai tout de suite retenu les deux
accroches visuelles qu’il avait mission d’insérer dans les pupilles et les
neurones de tous les couillons de base :
Le
"POUR L’EXEMPLE"
et le profil de médaille de Maximilienne de Taubira.
-
La Tronche, tout d’abord. Qu’y lit-on ? L’assurance, la fierté, l’arrogance,
la certitude, la volonté, la satisfaction, le pouvoir, le privilège de guérir
les écrouelles, la main de Justice ayant droit de grâce et de lettre de cachet…
Quelle magnifique réincarnation en statue de la déesse Athéna aux traits
relookés dans le rêve métissé d’un éternel futur !
Quand
je pense qu’on est allé chercher une vulgaire pétasse leucoderme et blondasse Ukrainienne
pour incarner Marianne sur les timbres postes livrés autocollants pour qu’on
ait pas à en lécher le derrière ! Alors que nous avions Taubira dont le
profil de médaille, hiératique à souhait, s’imposait naturellement pour
succéder à la Marianne de nos pères "Je sème à tous vents"…
-
"POUR L’EXEMPLE"
ensuite. Judicieusement, "Racisme"
et "condamné"
sont occultés par une couleur plus sombre car ce n’est pas vraiment ça qu’il
faut retenir.
Aristote
distinguait la justice générale "somme de toutes les vertus" qui se
confond avec la morale et la justice particulière qui, sous le regard de la
morale commune, règle en équité les conflits particuliers entre un individu et un
tiers (ou la société) ; le juge étant là pour faire la part des choses
dans le cas particulier en prenant en
compte, dans leur contexte, à charge et à décharge, tous les éléments ayant pu interagir
sur les faits. Ainsi, on tiendra compte à décharge de l’enfance battue par un
père alcoolique ou de la faiblesse mentale de l’éventreur en série de fillettes
impubères, du manque de ressources non-souterraines
et de l’adresse peu attrayante du domicile d’un cambrioleur multirécidiviste
tortionnaire de vieille retraitée, etc.
Du
beau méli-mélo que les modernes ont fait entre ces deux conceptions de la
justice ressortent deux adages et vous êtes invités à vous débrouiller avec :
"-
Tous sont égaux devant la loi" & "- On ne juge pas des actes, on
juge des personnes" (ou l’inverse, je ne sais plus^^)
Mais
quoi qu’il arrive, si on applique scrupuleusement ces deux préceptes (quel que
soit le sens du second^^) en aucun cas on ne devrait juger "POUR
L’EXEMPLE", fusse
une gonzesse assez bêtasse pour relayer un montage de potache ailleurs que sur
le "mur des cons".
On
le savait déjà depuis les ennuis de l’étudiant Bernard-Buss mais c’est maintenant
acté avec fierté par La Pravda : la Justice est bien là pour faire des exemples. C’est-à-dire pour susciter la crainte et la
peur de tous ceux qui ont naïvement cru pouvoir libérer la parole… Il faut que chacun sache que non seulement la
STASI est multiforme et omniprésente, mais qu’elle peut même vous frapper à Pellouailles les
Vignes depuis l’Amérique du Sud…
On doit juger des actes, mais ici on a jugé une personne, leucoderme de surcroit, et dont le casier judiciaire comptait bien moins de 35 condamnations. D'où la sévérité.
RépondreSupprimerCette dame ignorait que les noirs ne descendent pas du singe, comme nous ; au plus, sans la haine de la maîtresse, elle aurait seuelement hérité d'un bonnet d'âne.
Mais heureusement, cette sévérité ne s'appliquera pas aux racaiilles habituelles qu'il ne faut pas discriminer, sauf positivement, pour de hautres considérations d'origine ou de couleur de peau.
Au vu de ce qui se passe et des comportements jusqu'au plus haut niveau de certains états, puis-je encore lire et croire sans risque Richard Lynn, comme quasiment et désormais une majorité de scientifiques outre-atlantique ?
Tiens n'est on pas en train de réhabiliter les " fusillés pour l'exemple " de 14/18 ? combien d'articles SAVANTS dans Lhidré sur ce sujet qui fait frémir les les belle âmes non consciences de son lectorat
RépondreSupprimeret puis pour l'exemple permet de faire oublier la bêtise ridicule de ces condamnations
Tiens tiens, le plaignant dans l'afffaire, l'association Mouvement Walwari (sans aucun doute subventionnée par les contribuables, c'est à dire nous), a son siège à la même adresse que la permanence parlementaire de Taubira (source Riposte Laique via Fdesouche). Il n'y a bien sûr aucune collusion.
RépondreSupprimerEt bien sûr, par rapport aux racailles habituelles défendues bec et ongles (pas d'allusion, c'est une simple expresssion courante), il n'y a absolument pas deux poids deux mesures, système auquel on nous a habitué jusqu'au plus haut niveau de certains états.
Quant aux attendus du jugement, ils sont un concentré de haine et de vengeance mélanodermique (je cite) à laquelle on nous a habitué jusqu'au plus haut niveau de certains états.
Et il est bien sûr tout à fait inhabituel d'assimiler certaines communautés à des animaux, des chiens par exemple (ou des porcs, mais avec toute la distance nécessaire).
En fait, Taubira n'a jamais digéré d'être noire, et de toute évidence elle nous le fait payer.
RépondreSupprimergageons que le moment venu nous n'oublierons pas
RépondreSupprimerpour le reste, je viens de créer un association de laiderons,de moches, de sale gueule quoi
et je compte bien ester en djustiss' contre tous ceux qui discrimineront sur l'apparence physique
par exemple, y a longtemps, j'avais lu que sarko était"fait comme un derrière d'âne"
ça , ça ira chercher au moins dans les 150 000 euros
plus un an de cabane