Perso, je n’ai jamais aimé Louis-Ferdinand Céline, ni l’œuvre littéraire, ni l’homme. Question de goût.
Mais putain ! Quel homme ! Quel sacré pavé dans le marigot qui a – justement – marqué son temps… et encore pour longtemps !
Et voilà que le petit larbin larvaire, bouffon du roi, vaniteux, pédéraste, lèche-botte tout azimut avec les célébrités du moment, sodomite (ou inverti, Dieu me garde de savoir…) amateur d’éphèbes tunisiens (c’est ministre, on n’a que ce qu’on mérite…) chie dans son froc devant le comptable monomaniaque autoproclamé Torquemada au petit pied en charge de la vengeance judéo-fasciste éternelle ! (éternel : qui n’aura jamais de fin…)
Céline rayé des listes ! Céline rayé de la carte ! (je suis sûr qu’il en rigole… moi pas)
C’est quoi ce pays ? C’est qui qui gouverne ? C’est Klarsfeld ?
C’est quoi ce ministre ? (on le savait déjà…)
Bon, je me calme (non) Allez plutôt lire ce qu’en disent Hoplite (2° article : l’index) et Nicolas chez Ilys.
ADDITIF du 22 janvier : Ne manquez pas les réflexions que la chose inspire à Mouloud chez Bouteille à l'amer
"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"
"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.
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