Comme je le disais avant-hier, la noble figure de Saint
Boris Efimovitch Nemtsov a été recouverte par autre chose sur les écrans de
toutes natures, presque aussi vite que la dernière pièce de Béachelle à
l’affiche du théâtre de l’Atelier. Quel dommage ! Je ne pouvais pas
laisser faire ça. Maintenant qu’on a refermé la fosse au terme d’obsèques orthodoxes
suivies par une foule considérables
bien que des dirigeants et diplomates étrangers ont été interdits d’y venir, je
me devais de faire un geste pour la mémoire de ce "défenseur courageux et inlassable de la démocratie et un combattant
acharné contre la corruption" comme y cause notre Pédalonaute.
Bien sûr, j’exprime mon empathie et mes condoléances à
ses proches : à son épouse avec qui il est toujours marié ; à ses
quatre enfants, celui qu’il a eu avec elle, les deux qu’il a eu avec une
journaliste et celui qu’il a eu avec une secrétaire ; à sa compagne du
moment, aussi, Anna Duritskaïa, mannequin de son état, de trente-deux ans sa
cadette…
Que faire d’autre ? Moi, modestement sur mon petit
blog ?
J’ai trouvé ! Afficher ici une photo de lui. Mais
pas un de ces portraits hiératique de circonstance ; une photo qui permet
de conserver le souvenir de l’homme en
vérité. D’un de ces hommes pleins de vie qui se consacrent à ses
passions : la démocratie, la liberté, son pays, toussa :
[Boris en compagnie de Nastya Ognyeva, call
girl de son état, en 2012 à Dubaï]
Comme chez Corto, on peut ainsi remettre la Vérité en place !
RépondreSupprimerLe cinéma actuel de la vie dans toute ses composantes nous montre
en permanence l'envers du décor. Cela a sûrement toujours existé, mais internet dévoile tout. Boris, DSK, même engeance !
Ils en font un saint, alors qu'il avait l'air aussi pourri que les autres, la mort parfois sert de faire valoir
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