"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

jeudi 16 avril 2015

La cage aux folles est toujours pleine…



Le billet que j’avais commis ici il a exactement quatre ans est toujours d’actualité quant à la susceptibilité maladive de la communauté gay etc. Comme je le disais alors, le fait qu’elle soit passée aux yeux de la société d’une relative tolérance à l’institutionnalisation et à l’allégeance obligatoire n’a fait qu’accentuer, exacerber, hystériser la susceptibilité pathologique de ces gens. Leur position sociale (pas si) chèrement acquise leur permet dorénavant de laisser libre cours à leurs penchants pour les querelles de chapelle, les caprices d’enfants gâtés, les jalousies de refendeurs capillaires, les masturbations sur le sexe des anges (sic) et autres enculages (resic) de mouches…
La nécessité, semble-t-il vitale pour eux, de s’indigner et de se victimiser fait évidemment feu de tout bois avec ce qui passe à leur portée. La mode étant au danger raciste, il leur fallait évidemment qu’ils y trouvent matière pour qu’on ne les oublie pas.

Comme chaque année, donc, l’Inter-LGBT a organisé un concours pour sélectionner l’affiche officielle de la prochaine "Marche de leurs fiertés". Bon. La bête sélectionnée a donc été présentée en grande pompe samedi dernier lors du "Printemps des associations", manifestation honorée par la présence de notre Garde des Sceaux chérie…    
Représentant le buste d'une Marianne noire, l'affiche 2015 de ladite Marche des fiertés affiche ce mot d'ordre : "Nos luttes vous émancipent" et M’ame Taubira soi-même n'a pas bronché.
Ça n’a pas raté… Dans l’heure, les critiques indignées ont fusé de toutes parts. Quand je dis de toutes parts, hein, je ne parle pas du côté obscure de la force ! Non, ce côté-là n’en a rien à foutre. Les critiques ont fusé du sein même de la communauté dans son enrichissante diversité, car "ça dérange" :
«Retirez cette affiche» ; «La liste des problèmes suscités par cette affiche est longue. Mais il suffit de dire qu’elle est tout simplement raciste et colonialiste.» ; ce choix «rappelle à quel point l’image générique du 'noir' peut être utilisée, en plus de sa marchandisation dans d’autres contextes, pour symboliser une 'diversité' à peu de frais» ; «Nos luttes vous émancipent». Mais qui représentent donc ce «nous» et ce «vous» ? Etc.

Pourtant, une Marianne, ça devrait te titiller le fibrome républicain au niveau du vécu, tu vois…  Et puis une black, qui plus est avec un chouïa de côté androgyne, ça te montre l’universalité inclusive du LGBT, tu vois ?

Ben non, ça le fait pas. Les critiques ont été suffisamment nombreuses pour que l'Inter-LGBT fasse savoir qu'elle allait se réunir pour voir si elle n’allait pas retirer l’affiche comme en 2011 le coq au boa à dominante bleu blanc rouge…

Quand la sensibilité aux allergènes atteint ce stade pré-létal, les thérapies sont impuissantes et je me fais du souci pour l’avenir de la sous-espèce humanoïde concernée.
Prions. 


1 commentaire:

  1. kobus van cleef21/04/2015 21:10

    Allons allons, êtes vous taquin, quand même !
    J'ai vu, pour ma part, une certaine cohérence entre les photos qui illustrent l'article
    Ou pas....
    Comment corréler le coq, animal sacrificiel, et les deux persos de la photo du haut ?

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