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Bon. C’est ma photo du jour. On fait avec ce qu’on a.
L’utilisation
faite par Charlie-Hebdo de l’image du petit Aylan a fait scandale, paraît-il. Normal,
toussa c’est à Paris rive-gauche,
hein.
Le
pâté de sable ci-dessus, cépapareil.
Regardez comme il est beau. Çà au moins ça t’interpelle vachement au niveau du
vécu puisque il a été confectionné sur une plage où les acurabas locaux vont bronzer
le vendredi à… Gaza.
- Ah oui ! Un autre château de sable :
On est enfin rassuré par une info glissée aujourd’hui dans
la rubrique des Faits Divers :
Vous vous souvenez de Yassin Salhi. Le type avait
décapité son patron à Saint-Quentin-Fallavier. Ce sont des choses qui arrivent…
Accessoirement connu et fiché pour
des liens avec la mouvance salafiste, il avait accessoirement accroché la
tête de sa victime à un grillage entre deux drapeaux islamistes, pris un selfie
avec le cadavre, accessoirement
laissé traîner par là des… "inscriptions" comme il cause le Pédalonaute,
avant de précipiter accessoirement son
véhicule contre une usine de stockage de gaz.
Ben finalement, selon un rapport psychiatrique dont a eu connaissance RTL,
Yassin Salhi n’aurait agi qu’à titre
personnel "par vengeance personnelle" et son geste n'aurait
finalement rien d'un acte terroriste.
Ouf ! Circulez, y a rien à voir.
Il est vrai qu’en soutien des efforts méritoires de Najat pour relever le
niveau des écoles, la réduction drastique du nombre de mots du vocabulaire
constitue une piste essentielle. Déjà, la fusion-absorption en un seul des mots
clandestins, sans-papiers, migrants, réfugiés et demandeurs
d’asile représente une avancée considérable. Il est évident, cartésien même, que
tous les actes terroristes perpétrés ici et là, un certain 11 septembre comme
un certain 7 janvier, sont tous plus que quelque
part des actes que leurs auteurs ont tous accomplis au premier chef par suite
d’une conviction et d’une décision personnelle. On peut donc passer le mot
terroriste sous le tapis. Ou sous le sable….
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