D’autres,
paraît-il, le sont aussi.
Dans la
foulée du drame, Le Monde et divers autres médias avaient
relayés avec gourmandise divers témoignages et autres "micros-trottoirs"
inspirés selon lesquels les terroristes ayant perpétré les attentats du 13
novembre à Paris et à Saint-Denis présentaient tous les symptômes de types
drogués jusqu’aux yeux…
Ben non. Les
analyses toxicologiques réalisées sur les neuf se sont révélées négatives.
Aucun n’était sous l’effet de stupéfiants. Les experts ont également exclu toute consommation de Captagon, ce
psychostimulant en comprimés très prisé par les combattants du djihad. Ce qui
pourrait d’ailleurs remettre en cause la crédibilité
de la qualification terroriste de ces
crimes si l’on se réfère à l’argumentaire du procureur de Valence…
Et un seul des neuf cadavres présentait
des traces d’alcool "tellement insignifiantes qu'elles ne permettent pas de conclure à une consommation d'alcool ce
jour-là."…
Seule, la
cousine de l’un d’eux, morte lors de l’assaut de la planque de Saint-Denis,
présentait des traces de cocaïne. Ce qui a permis aux pisse-copies tirant à la
ligne de broder : (elle) "s'était découvert une passion soudaine pour l'islam le
plus rigoriste, sans rompre pour autant avec ses habitudes de jeune femme
aimant la fête"…
Cette dernière
phrase est un petit bijou : Il fallait l’excuser (ça se fait
pour les morts, question de dignité) d’avoir dérogé aux préceptes
de sa religion, n’est-ce pas ? Et on sait que l’habitude de toutes "jeunes
femmes aimant la fête" est de se faire une ligne à sniffer ou de se shooter
à la seringue, hein ! Mais je m’égare…
Bref, les
neuf ordures en question n’étaient pas "sous l’emprise" de
stupéfiants. Rien, absolument rien, ne permet de présumer que "quelque
chose" a pu altérer leur discernement. Ni réduire leur part de
responsabilité de leurs actes perpétrés en toute conscience…
C’est
contrariant. D’autant plus qu’on ne leur connaît aucun gourou.
Ou alors
le Pape François peut-être ? Qui sait ?
C’est
peut-être une piste…
Le Quotidien du Médecin fit même en partant de la piste des tueurs sous drogue une fin d'article sur les soldats allemands drogués jusqu'aux yeux permettent à la guerre de durer plus longtemps LHLPSDNH le Fn 'est pas en cause pour l'instant mais rien ne prouve qu'il ne le soit pas
RépondreSupprimersincèrement , cette légende des gefreiters du 3ème reich dopés jusqu'à la moëlle des os commence à être usée jusqu'à la corde
Supprimers'il y avait de la dope , elle était réservée aux pilotes
où l'auraient ils trouvée , d'ailleurs , cette dope ?
et laquelle ?
il y avait un embargo et un blocus sur toutes les importations Hallemandes , à tel point que ce furent des équipages de voiliers ( oui , vous avez bien lu , des équipages de voiliers ) qui firent rentrer de la morphine ( cité dans "les voiliers de Hitler" de ....machin, l'ancien volontaire de la lvf ) en Allemagne encerclée
si un camp a autorisé l'usage des stupéfiants c'est celui du bien et de façon massive surtout pour les pilotes et mitrailleurs de bombardiers
L'idée qui veut qu'ils soient drogués vient de la secte des hashashin, ou niszâri, chiites (XIº - XIIIº s). On relève en effet beaucoup de points communs avec nos "déséquilibrés" actuels. Entrainement paramilitaire quotidien, endoctrinement, et lavage de cerveau à base de privation de sommeil et de nourriture accompagnée d'un joyeux gavage de substances hallucinogènes. Les asservis n'étaient pas shootés lors de leurs "missions". Pas plus hier qu'aujourd'hui. N'empêche, faut avoir des prédispositions. Genre une tête vide prête à remplir.
RépondreSupprimerHa ,ça.... on va bien trouver un peu de plomb pour la remplir, cette tête vide !
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