Ces
trois croque-morts aux mines de circonstance se félicitent à bon droit des
bonnes perspectives de création d’emploi dans les métiers de fleuristes, de
marbriers et, surtout, de compositeurs-interprètes d’oraisons funèbres (quoique n’est pas
Bossuet qui veut)
Toutefois,
cette photo recèle un détail qui trahit quelque
part quelque chose comme un acte manqué. Ce n’est peut-être pas sans raison
que les bas des reins du gestionnaire de la boutique et de son fidèle bras
gauche masquent une partie de la vitrine. Ils ne peuvent cependant pas éviter
que l’on puisse facilement compléter la dernière ligne des informations calligraphiées
dessus : Qu’a-t-on pu y écrire d’autre que
CHANGEMENT DE PROPRIETAIRE ?
Et
puis un dernier souvenir de la semaine dernière, pour la route…
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