Si on se réfère (sous toutes
réserves !)
à la jactance validée par Wiki-sa-race : « Être transgenre est le fait
pour une personne de s’identifier au
moins en partie à d’autres genres
que celui attribué à sa naissance et d'en adopter le mode de vie ; et cela
sans nécessairement subir de chirurgie de réattribution sexuelle. »
« Le terme transgenre peut également désigner toute
personne qui rejette en tout ou en partie
son identité de genre initialement assignée ou qui ne s'identifie pas aux
règles des genres masculins et féminins "traditionnels" (travestis,
transsexuels, "troisième sexe", "queer", personne
intersexuée…) » Z’avez compris ?
z’êtes toujours là ? Bon.
J’admets bien volontiers que ces personnes
diverses et variées doivent rencontrer quelques difficultés, contrariétés,
hésitations, bref être perturbé(e)s lorsqu’elles se trouvent en présence d’un
de ces choix binaires qu’impose au quotidien le vivre ensemble la
société "traditionnelle" ; comme par exemple cocher une case sur
un formulaire ou, surtout, choisir "au fond à droite" ou "au
fond à gauche" quand elles sont prises d’un besoin pressant… Perturbations
qui, à n’en pas douter, constituent pour
ces braves gens des violences
inouïes.
Eh bien figurez-vous
que chez l’oncle Sam, entre deux négos sur le TAFTA et la Syrie, l’avenir de
Guantanamo et l’élaboration du programme d’Hillary, l’obamesque administration
s’est saisie du problème de ces braves gens au niveau fédéral : Elle a
pondu la semaine dernière une directive demandant aux établissements scolaires
publics de laisser leurs élèves transgenres utiliser
les toilettes de leur choix. Bien que s’affirmant "incitative",
cette directive suggère que les établissements qui s'opposeraient à son
application pourraient être poursuivis en justice ou se voir supprimer les
aides fédérales…
Dont acte. Et on s’en
fout… Eh bien moi pas vraiment.
Certes, s’agissant du
"visible", il en est parmi ces personnes qui sont… comment dire… Mais
l’écrasante majorité des ressortissants de cette minorité marginale présentent
une apparence physique sinon toujours
un comportement social apparent qui
les "rattachent" sans problème à l’un ou l’autre des deux genres reconnus depuis la nuit des temps
comme d’ordre public pour assurer la cohérence sociale. Citez-moi une seule de
ces personnes, y compris un simple travelo avec pompe et sacoche, qui n’a pas
trouvé à temps une solution pour aller pisser ?
Tiens ! Ça me
rappelle une petite cousine super sympa. Une vraie fille des bois. A
l’adolescence, c’était la caricature la plus achevée du "garçon
manqué" (je
rassure ; après avoir été… bûcheron, elle est aujourd’hui épouse et mère…) Au collège, elle se
vantait "- Je suis le seul mec qui
peut aller voir dans les WC des filles ! "… Mais je m’égare.
Les trans peuvent donc aller où
"ils" veulent. "C’est mon
choix, c’est mon droit, parce que je le vaux bien"… Et les autres ? Qu’en pensent-ils ? Vous
les mecs, quelles remarques voire cris d’orfraie n’avez-vous pas entendu en vous
trompant de porte dans les vestiaires ? Les trans, cette nouvelle noblesse du slip, peuvent dire "ça me gêne ici et je préfère là" En
revanche, au plus grand nombre, à la multitude des ploucs et des acurabas qui
ne demandent rien, on ne leur demande jamais si ça peut les gêner, si ça peut
les déranger…
Si j’éprouve le
besoin d’en causer, c’est parce que j’y vois deux choses :
- D’abord,
évidemment, cette directive est une petite touche qui se rajoute à tant
d’autres pour consolider le pouvoir pris sur la société par les lobbies d’infimes
minorités agissantes et narcissiques au détriment des nécessaires vrais élites
qui font défaut. Prise isolément, cette décision gouvernementale est dérisoire
et même risible. Mais elles sont toutes sans importance. Et c’est ce qui fait
que ça va continuer car jamais rien ne fera déborder le vase !
- Ensuite, que
l’endettement comme le déficit étant ce qu’ils sont, nous avons là une piste
pour obtenir la fusion en un seul local et disposer enfin de "toilettes-pour-tous" sans urinoirs
(avec WC
turcs de préférence)
Cela permettrait tout à la fois de lutter contre les discriminations sexistes et
de réduire les coûts d’investissement et d’entretien des établissements
collectifs. Revendiquons !
Quand les turcs ont pris d'assaut Canstantinople, on était en train de doctement y débattre du sexe des anges, paraît-il ... Et il paraît aussi que l'Histoire ne se répète pas. Moi, je commence sérieusement à en douter ....
RépondreSupprimerAu départ, le "chiotte à la turque" était invention belge.
RépondreSupprimerCe n'est que bien après que les Turcs on pensé à creuser un trou.
Alors ,allons bientôt des choitards à la turc pour tous et la question sera résolue
RépondreSupprimeret avec les turcs on aura aussi les " muets du sérail" pas bête non ?? la question transcende sera tranchée
les chiottes à la turque sont des trucs pour analphabètes
RépondreSupprimeressayez de lire votre journal dans des conditions pareilles....
notez bien que nulle part il n'est dit que lors du tanzimat on a tenté de substituer à ces chiottes des trônes bien relaxants....