La femme EST. Point barre… Elle est depuis la nuit des temps. Que
serais-je sans toi ? Et depuis la nuit des temps, c’est elle qui
manage le boxon, mine de rien… Il n’y a que durant les deux ou trois derniers millénaires
de sédentarisation agricole (autant-dire rien) qu’elle a
dû céder la culotte au mec. Et encore, seulement dans les régions forestières
septentrionales et pour des raisons tout à fait compréhensibles [cf. ici]. Et c’est fini ! Elle a repris le manche (enfin, je me comprends…)
Bien sûr, ce n’est
pas encore ça. "Je gagne moins
que lui", "Y me harcèle",
gnagna, etc.
Je n’en disconviens pas. Il est donc quelque part légitime que se poursuive l’extension du domaine de la lutte
porcinophobe…
Soyons clair et n’ayons pas peur des mots : Le
principal front de la lutte des
femmes aujourd’hui, stratégiquement et tactiquement prioritaire, devrait être leur statut chez les muzz…
Or, que constate-t-on ? – Toute la force
combattante déployée par la de Haas et autres pétasses qui bavassent dans le
poste est exclusivement orientée contre l’ennemi absolu ; le mâle-blanc-générique
! Connasses…
Il est vrai qu’en France, la journée internationale de la
femme (terminologie
officielle de l’ONU, UNESCO, etc.) est devenue la journée
internationale des droits des femmes, expression retenue par les
pouvoirs publics et qui suggère un engagement dans la lutte… Mais je m’égare…
Regardez les éditions du jour de la presse quotidienne
convenable et subventionnée : la tonalité générale des titres ne célèbre pas la femme mais tient
plutôt du communiqué de temps de guerre. Ça parle de combats, de prise de pouvoir,
de gagner…
Ceci-dit, j’adore la Une de
Libération qui, une fois encore ne me déçoit pas :
Incapable d’aborder l’actualité par
autre chose que le petit bout de la lorgnette, incapable de proposer des
articles et analyses de fonds à ses derniers lecteurs, ce torchon déficitaire ne
trouve rien d’autre de plus ridicule pour originaliser
sa ligne éditoriale que de vendre son numéro 50 centimes moins cher aux femmes
qu’aux hommes…. Non seulement, n’en doutons pas, c’est le con-tribuable qui
paiera la perte en dernier ressort, mais c’est une magnifique illustration de l’égalité version bobo-ventre-plein hors
sol planant à des années-lumière du réel…
Bon, je ferai acheter Libé par bobonne.
RépondreSupprimerMais qu'est-ce que je raconte ? J'ai jamais acheté Libé, c'est pas aujourd'hui que je vais commencer parce que c'est bradé si c'est une nana qui achète. Faut pas déconner non plus. S'ils pouvaient faire ça à la station-service, par contre ...
je n'achète JAMAIS libé ni l'immonde
Supprimerni de façon générale la presse subventionnée
parfois , je me commet à le lire dans l'avion puisque c'est offert
je parade donc auprès de mes voisins en disant "té , j'ai récupéré un euro sur mes impôts , pas grand chose, mais toujours ça de pris"
Je plains sincèrement les hommes depuis quelques années... Reprenez la barre, les hommes, conduisez-vous en hommes, ne vous laissez pas insulter ! Réagissez !
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