"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

jeudi 8 mars 2018

Journée de… euh… d’aujourd’hui…



La femme EST. Point barre… Elle est depuis la nuit des temps. Que serais-je sans toi ? Et depuis la nuit des temps, c’est elle qui manage le boxon, mine de rien… Il n’y a que durant les deux ou trois derniers millénaires de sédentarisation agricole (autant-dire rien) qu’elle a dû céder la culotte au mec. Et encore, seulement dans les régions forestières septentrionales et pour des raisons tout à fait compréhensibles [cf. ici]. Et c’est fini ! Elle a repris le manche (enfin, je me comprends…)

Bien sûr, ce n’est pas encore ça. "Je gagne moins que lui", "Y me harcèle", gnagna, etc.
Je n’en disconviens pas. Il est donc quelque part légitime que se poursuive l’extension du domaine de la lutte porcinophobe…
Soyons clair et n’ayons pas peur des mots : Le principal front de la lutte des femmes aujourd’hui, stratégiquement et tactiquement prioritaire, devrait être leur statut chez les muzz…
Or, que constate-t-on ? – Toute la force combattante déployée par la de Haas et autres pétasses qui bavassent dans le poste est exclusivement orientée contre l’ennemi absolu ; le mâle-blanc-générique ! Connasses…

Il est vrai qu’en France, la journée internationale de la femme (terminologie officielle de l’ONU, UNESCO, etc.) est devenue la journée internationale des droits des femmes, expression retenue par les pouvoirs publics et qui suggère un engagement dans la lutte… Mais je m’égare…
Regardez les éditions du jour de la presse quotidienne convenable et subventionnée : la tonalité générale des titres ne célèbre pas la femme mais tient plutôt du communiqué de temps de guerre. Ça parle de combats, de prise de pouvoir, de gagner… 


Ceci-dit, j’adore la Une de Libération qui, une fois encore ne me déçoit pas :

Incapable d’aborder l’actualité par autre chose que le petit bout de la lorgnette, incapable de proposer des articles et analyses de fonds à ses derniers lecteurs, ce torchon déficitaire ne trouve rien d’autre de plus ridicule pour originaliser sa ligne éditoriale que de vendre son numéro 50 centimes moins cher aux femmes qu’aux hommes…. Non seulement, n’en doutons pas, c’est le con-tribuable qui paiera la perte en dernier ressort, mais c’est une magnifique illustration de l’égalité version bobo-ventre-plein hors sol planant à des années-lumière du réel  

3 commentaires:

  1. Bon, je ferai acheter Libé par bobonne.
    Mais qu'est-ce que je raconte ? J'ai jamais acheté Libé, c'est pas aujourd'hui que je vais commencer parce que c'est bradé si c'est une nana qui achète. Faut pas déconner non plus. S'ils pouvaient faire ça à la station-service, par contre ...

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    1. kobus van cleef12/03/2018 20:50

      je n'achète JAMAIS libé ni l'immonde
      ni de façon générale la presse subventionnée
      parfois , je me commet à le lire dans l'avion puisque c'est offert
      je parade donc auprès de mes voisins en disant "té , j'ai récupéré un euro sur mes impôts , pas grand chose, mais toujours ça de pris"

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  2. Je plains sincèrement les hommes depuis quelques années... Reprenez la barre, les hommes, conduisez-vous en hommes, ne vous laissez pas insulter ! Réagissez !

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