
La seule chose que j’ai retenu, en passant, c’est la remarque d’un quidam que je vous livre en gros : "- Les politiques, maintenant, c’est comme un chirurgien qui opère en ayant autour de lui toute la famille du patient qui commente l’opération en temps réel…" Bon, ça suffisait pas pour mériter le déplacement…
Pourquoi je cause de ça ?
Ben, avant de reprendre mon TGV ce matin, j’ai jeté un œil distrait sur les titres à la une des quotidiens au kiosque de la gare. Pour Le Monde et Libé, il n’y en a que pour Karachi (non y a pas de faute d’orthographe dans le titre…), Pour La Croix et le Figaro, c’est Benoît XVI qui tient la vedette. Pour La Croix, on comprend ; pour le Figaro aussi vu son art consommé pour éluder…
Reste la lancinante (?) question du pouvoir de la presse… En quoi la vérité (si elle sort) sur les dessous de Karachi incitera les lecteurs du Monde et de Libé à voter plus qu’ils ne le feront de toute façon pour le candidat encore ectoplasmique de la gauche en 2012 ? Les lecteurs du Figaro retourneront-ils plus à la messe d’apprendre que le discours du Magistère sur le bout de latex évolue dans la forme (j’ai dit la forme, pas le fond…) ? Et quand Libé annonce quasiment à ses fidèles lecteurs, comme si c’était fait, que le Pape va démissionner, qu’est-ce qu’un lecteur conscient et organisé de Libé en a à foutre ?
Bref, je dis ça, je dis rien… A plus…
Roland Joffrin ? Z'êtes sûr ?
RépondreSupprimerScuses... J'arrive et ouvre juste la bête.
RépondreSupprimerLaurent of course ! Ce que c'est d'écrire sans queue ni tête en sortant du train...