Je n’avais quasiment pas mis les pieds en ville depuis mon retour. Et voilà que je suis sorti ce lundi matin, m’aventurant à peine un peu au delà de mon périmètre (boulangerie, marchand de journaux…)
1° Tout d’abord, dès l’arrêt du bus, j’ai eu la vision de la ville "cent pour cent délicate" appelée de ses vœux par le projet socialiste pour nous libérer de l’ambiance anxiogène du temps présent :
2° Ensuite, pour rattraper le coup, on m’a rassuré. Dès après-demain, je pourrai rêver que le réel me fera rire de mes inquiétudes :
3° Tout va pour le mieux. Et voici peut-être pourquoi :
On se sent bien rassurés...
RépondreSupprimer