« Il avait disparu... Pendant
plus de quarante-huit heures, François Hollande est demeuré invisible, comme
s'il s'était évaporé sous le soleil du Midi. Lundi, un communiqué laconique de
la présidence de la République indiquait qu'il avait quitté la veille au soir
la résidence de la Lanterne, à la lisière du parc de Versailles (…) Depuis, il n'avait plus été vu en public avant
d’être retrouvé hier par nos confrères de Nice-Matin qui l'attendaient en bas
de l'immeuble de son père, à Cannes. »
« (…) on voit François Hollande,
en chemise blanche, col ouvert, sonner à l'interphone d'un immeuble
banal : "- Voilà, c'est moi ! " La voix de son père lui répond : "- C'est au cinquième
étage." Sourire du fils : "Eh
oui, je m'en rappelle !" »…
Que c’est beau !
Rendez-vous compte le stress : On l’avait perdu ! On avait
sûrement dû chercher partout : Derrière les moutons sous la commode ;
à la cuisine Ikea derrière les poubelles du tri sélectif, même dans le bac du non-recyclable…
Dans l’angle mort des contremarches de l’escalier rue du Cirque ? J’sais-pas
moi, un pédalonaute ça prend de la place ! Ça ne se perd pas comme ça !
Heureusement que les grévistes de Nice-Matin étaient là. Le Parisien a pu
nous rassurer et toutes les agences de presse reprendre l’info. Il paraît même
que la presse people était "alléchée" par cette disparition insolite…
Paraît qu’entre souffler 60 bougies avec ses enfants et rendre visite à
Papa, il a trouvé le temps de vendre donner du beurre des armes
aux Allemands Kurdes, et de téléphoner à Angela et David (on ne sait pas s’il les a eus) Mieux que Rambo.
P’tain ! Si ce n’était que ridicule ! Ça l’est forcément aux yeux
de l’étranger qui regarde ça avec condescendance et commisération. Mais c’est
pire :
Cette orchestration de la communication
en s’esbaudissant devant tous ces petits riens communs à tous les pèquenots ne
montre pas qu’une désespérante incapacité à communiquer
sur le réel et une volonté de le cacher sous l’édredon ; elle fait éclater
au grand jour leur mépris pour le bas-peuple jugé suffisamment débile pour
avaler n’importe quoi.
Mais le bas peupleu le mérite, bon gu d'bon gu, ce mépris !
RépondreSupprimerEn continuant à acheter ces journaux de merde, sans expédier de lettre d'injure au redac chef, croyez pas qu'on mérite d'être pris pour des cons ?
Un jour, je rêve qu'un demorand joufflu quelconque ou qu'un chistof barbier ( qui raze gratos c'est bien connu) dise en direct à la télé "vous pensez qu'on vous prend pour des cons ? mais avouez, depuis le temps qu'on vous prend pour des cons et que vous acceptez ça, c'est que vous êtes vraiment, authentiquement des cons ! des cons d'anthologie, des pauvres cons, capables de croire qu'il pleut lorsqu'on vous pisse dans la bouche..... pourquoi nous en priverions nous, hein, pourquoi ? et en plus on est payé pour ça ! mieux que payés, d'ailleurs, subventionnés ! trouvez moi une meilleure raison pour continuer !"
Et, effectivement, lorsqu'on y pense....
Le patron des preneurs de cons pour ce qu'ils sont est à l'Élysée, il annone son texte, il fait ses petites apparitions/disparitions et on continue à acheter paris match, l'aberration, ou l'immonde
Le quotidien de janjoraisse, ça fait des années que je l'ai plus vu dans le moindre kiosque à torchanus, mais c'est pas grave, il surnage
Et nos zintelligences devraient cesser de nous prendre pour des cons ?
Non, si nous ne cramons pas les torchanus sus cités, c'est que nous sommes, collectivement,des cons