Ah les Chuiches ! Nombre d’entre
nous ont salivé d’envie lors de diverses votations chez nos voisins aux coffres forts
remplis de meules de gruyère et de bien d’autres choses encore… Qu’il s’agisse
de l’expulsion des délinquants, des minarets ou des quotas d’immigrés, chaque
fois que ces braves gens, égoïstement et par
erreur, se prononcent à cinquante pourcents plus epsilon en faveur d’une
mesure nauséabonde, nous sommes tentés d’ouvrir une bouteille de fendant en rêvant à un impossible
rattachement de notre village gaulois perso au Valais ou au Jura chuiche… En fait, non. Nous n’avons aucune envie de les
rejoindre, de nous intégrer dans leur
petite vie industrieuse et compassée rythmée par le coucou chuiche… C’est
seulement qu’ils nous donnent périodiquement l’occasion d’une mise en joie
mauvaise mais bien agréable en lisant le tombereau de conneries déféqué par l’établissement de nauséelites fwançaises
et européennes en général. Et par la Viviane Reding en particulier qui n’en
rate jamais une ; cette matonne au doux regard de chienne de garde de Ravensbrück
qui comparaît les
expulsions de Roms en situation irrégulière en France aux rafles des juifs en
1940…
En fait, nous n’avons rien à envier aux Chuiches. Ces pauvres
gens sont presque autant dans la merde que nous et pour les mêmes raisons
hautement éthiques.
Prenons l’exemple de Hagenbuch. Ce charmant petit village
alémanique et rural du canton de Zurich compte 1.000 habitants tout mouillé. Et
comme le veut l’usage dans ce pays qui ignore le mille-feuille administratif
que le monde nous envie, l’aide sociale ne relève pas des niveaux cantonal et
fédéral mais de la communauté locale.
Or donc, il y a trois ans, une soi-disant réfugiée
Erythréenne est venue s’installer dans la commune avec ses sept enfants. Elle
bénéficie d’un permis de séjour "B" annuel reconductible (en fait toujours
reconduit en l’absence de délit) Depuis lors, la municipalité règle leur loyer et leur alloue près
de 2200 euros par mois pour leurs dépenses quotidiennes. Plus tard, 4 des 7 mômes
ont été pris en charge par un orphelinat, la mairie devant régler pour chacun
d’eux plus de 7600 euros. A cela s’ajoute les dépenses en temps de travailleurs
sociaux et de supervision, en factures d’électricité, frais de ménages, de
cuisine, de soins infirmiers à domicile et de divertissement, telles les
visites de la smala au zoo avec accompagnateurs...
Au total, la commune les prend en charge pour une dépense de 600.000 €
par an…
La présidente de la communauté d’Hagenbuch (maire), Thérèse Schlaepfer, a
dû en décembre 2013 faire voter une augmentation significative des impôts
locaux pour pouvoir continuer à faire face aux obligations du village à l’égard
de sa "résidente". Le Canton comme la Confédération faisant la sourde
oreille à ses appels au secours, elle s’en est ouverte aux media. Elle relève notamment que "le plus inquiétant est que ces familles n'ont aucune obligation, seulement des droits. S’il faut un traducteur,
ou si un appartement ne convient pas, nous devons ajouter…" Avec en conséquences:
la colère chez les voisins dont le
manque de compréhension s’ajoute à celui ouvertement manifesté
par les réfugiés…
Bien sûr, c’est silence radio…
Et, pour peu qu’on en parle, je vois
venir une petite remarque fielleuse sur cette pauvre Thérèse puisqu’elle est
une élue SVP (Sweitzerische Volkspartei, appellation germanophone de… l’UDC)
Bref, eux comme nous financent leur
propre colonisation…
Passez un bon week-end.
Cette municipalité est inqualifiable de bassese et de côté carpette (en fait, les mots me manquent).
RépondreSupprimer".a dû en décembre 2013 faire voter une augmentation significative des impôts locaux pour pouvoir continuer à faire face aux obligations du village à l’égard de sa "résidente"."
A dû pourquoi? Qui l'y obligeait? Il y en a marre de ces immigrés qui nous pompent!
Pour bien connaitre la communauté éthiopienne et érythréenne vivant en France je peux témoigner que 99 fois sur 100 les demandeurs d'asile supposément érythréens et supposément en danger sont en fait de braves éthiopiens nullement en danger de mort. Ils sont pauvres, certes, encore que ceux qui arrivent en Europe ont été financés par leur famille donc pas si pauvres mais n'ont pas de problèmes de vie ou de mort comme ils le laissent supposer à l'avocat en charge de leurs dossiers.
RépondreSupprimerPour la plupart d'entre eux ils se brûlent les bouts de doigts afin d'effacer leurs empreintes digitales et qu'on ne les renvoie pas dans le premier pays qui les a fichés (en général l'Italie ou la Grêce). Donc ils restent.