Je ne
voulais pas en parler, faute de trouver quoi en dire, la flemme aidant… La Journée sans tabac, la Journée internationale pour la diversité socioculturelle et pour la lutte
contre la discrimination, ou encore la Journée internationale de la protection de
la couche d'ozone, je trouverais bien
quelque chose à dire. Mais la Journée de la femme ??
La femme
EST. Point barre… Elle est depuis la
nuit des temps. Que serais-je sans toi ?
Et depuis la nuit des temps, c’est elle qui manage le boxon, mine de rien… Il n’y
a que durant deux ou trois millénaires de sédentarisation agricole (autant-dire
rien) qu’elle a dû céder la culotte au
mec. Et encore, seulement dans les régions forestières septentrionales et pour
des raisons tout à fait compréhensibles. Et c’est fini ! Elle a repris le
manche (enfin, je me
comprends…) Relisez le
propos très éclairant de Vertumne sur ce
point. C’est vieux de trois ans mais si ce n’est pas d’hier, c’est d’aujourd’hui
et de demain…
Bien sûr, c’est pas encore ça. "Je gagne moins que lui", "Y me harcèle", gnagna, etc. Alors
que le seul front de la lutte des
femmes aujourd’hui, le seul, c’est le statut de la femme chez les muzz… Allez
en causer aux FEMEN et autres pétasses qui bavassaient ce matin sur Fwonce-Cul’ :
"Notre but n’est pas la laïcité, nous
voulons interdire et détruire les religions…" Seulement dans les
églises… Connasses.
Mais je m’égare.
Revenons à cette "Journée". Cékoiça ?
On notera qu’en
Fwance, la journée internationale de la femme, terminologie officielle de l’ONU, UNESCO,
UNICEF, etc. est devenue la journée
internationale des droits des femmes, expression retenue par les
pouvoirs publics et par… Osez le
féminisme… Accessoirement, on notera aussi que la date du 8 mars a été
retenue en célébration d’une manif’ d’ouvrières américaines au XIX° siècle.
Manif’ qui n’a jamais eu lieu, mythe inventé en 1955 par l’Humanité pour les besoins de sa cause d’alors. La presse du PC et
de la CGT nous le rappelle d’ailleurs chaque année et ça va finir par être le
genre de truc qui vous conduit direct au procès pour négationnisme. Mais je m’égare
encore…
L’intéressant, c’est cette notion de Droits
(au pluriel, c’est important…) La encore, le flou
organisateur a enterré le droit des femmes (au singulier, droit des…) avec ce pluriel désormais
de rigueur. Et, sous-jacent mais présent à l’esprit de chacun, il ne s’agit pas
des droits des… mais de droits à des… A quoi ? A…
tout ? au contraire de tout ? au n’importe quoi ? au congé de
menstruation ? à la grossesse à six mois ? Je m’arrête, sinon je vais
dire des conneries (en plus…)
Bon. Au départ je ne voulais pas en parler, juste vous dire, si ce n’est
déjà fait, de lire le papier d’humeur de
Marie Delarue ce matin chez Boulevard Voltaire.
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