"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

mercredi 12 mars 2014

Image, synthèse et grosse fatigue…



Image de synthèse… Pas de synthèse numérique genre Avatar. Non. Mais l’image qui offre une synthèse de ce qui tient lieu d’exécutif la France, terre des arts, des armes et de lois réceptacle des Irina, des Leonarda et des droits à. Je dis une synthèse parce que rien n’est jamais parfait…

En transpirant à un tarif horaire que je vous dis pas pour agencer le visuel du décor (sans compter la maquilleuse), un communiquant professionnel de mes deux n’aurait pas fait mieux que le caméraman de BFM ayant saisi ce plan sans même s’en rendre compte comme M. Jourdain faisait de la prose.

Regardez comme c’est parlant ! Comme c’est signifiant !

L’huitre, d’abord. Tout y est : La lassitude, l’épuisement, le tassement, le je-sais-plus… On sent la phase terminale qui vient sans perf ni oxygène… Il aurait fait mannequin pour la campagne de l‘ADMD il y a deux ans, il aurait été crédible.  Pitié, débranchez-moi !

Et puis il y a tout le message subliminal du visuel du décor :

- La gonzesse. Plutôt livide, mais bon. Le regard et la tronche qu’elle fait : Peut-être de l’étonnement, de la surprise ? Peut-être aussi de l’inquiétude. J’y soupçonne pour ma part quelque chose comme de l’apitoiement. Un apitoiement muet devant le grabataire destiné aux bons soins de l’ADMD…
Faut dire que ça se comprend. La dame fait peut-être partie de son staff ; on du moins son taff dépend peut-être de la survie d’icelui…
- Et puis le décor : C’est filmé lors de la remise des prix du concours à la con dont je parlais samedi dernier. Egalité(e). Masculin-féminin avec les petits symboles répétés tous les quatre mètres pour les illettrés. Il y avait des "textes", on le saura. Et on est bien dans un "film", c’est souligné. Tiens ! Il y a semble-t-il quand même un porte-couilles sur zone, dans le coin. Un appariteur ? Le concierge de la salle ? En tout cas il s’intéresse à autre chose qu’au chef. Bon, ce doit être un officier de sécurité. Avec Jean-Marc, au moins pas besoin de scooter.

Ah oui ! J’oubliais : Il y a aussi le petit panneau lumineux de rigueur indiquant la sortie. La sortie de secours. S’il y a le feu, c’est dessiné, faudra courir. S’il y a le feu seulement…  
   

2 commentaires:

  1. ces personnes ont l'air de sortir d'un salon mortuaire, la dame a les yeux rouges pour avoir beaucoup pleuré, le monsieur montre l'épuisement de cette nuit passée a veiller sur nos defuntes illusions...et pour le decor, c'est peut être dans l' abri anti nucléaire réservé au gouvernement.
    Pour courir par contre, ils vont courir, s'ils ont idée d'une connerie à voter comme la loi anti escabeaux qui prive nos jeunes d'un petit boulot qui leur donne 4 sous et leur sussure que l'école c'est pas si mal ...

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  2. kobus van cleef20/03/2014 13:41

    Ha Ouiche, la loi anti escabeau !
    Succulent !
    Y aurait la loi pro boite en coton, boite dans laquelle on enfouirait nos jeunes, jusqu'à l'âge de la retraite pour qu'ils ne s'abîment pas

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