"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

mardi 11 mars 2014

La guerre trois points zéro…


C’est vrai qu’on se croirait revivre cette foutue "drôle de guerre" à la 39-40 d’attente d’on-ne-sait-pas-quoi où, dans les "équipages" du "secteur fortifié" que commandait mon grand-père, mine de rien, en tapant le carton, l’avant-garde ouvrière cassait le moral des nous-vaincrons-car-nous-sommes-les-plus-forts
Aujourd’hui, on attend tous je-ne-sais-pas-quoi sans trop voir que sous leurs airs d’incapables entarlouzés les clones version 2.0 modernoeudes de Lénine et Staline sont en train de nous repréparer softpower les grandes liquidations des années 20 à 50… Un mélange de fin de règne et de stand-by sans illusions. Bien sûr, l’enchevêtrement en sac de nœud des Sarkogate vraies ou inventées est tel, à dessein pour meubler les cases de cerveau disponibles, que c’est trop pour les neurones et sature l’espace au point qu’on ne voit plus les affiches appelant à se méfier de la "5° colonne"… Du coup, les blogueurs de gouvernement la jouent profil bas pour ne pas affoler le bourgeois et les réacs se lassent. Je le vois bien dans ma petite boutique dont la courbe des stats connaît depuis fin janvier une inversion qui ravirait celle du chômage. Sûrement dû en partie à la vacuité de bien des billets de simple remplissage, mais pas seulement. On n’a plus le goût à rien…

Heureusement, nous avons l’Amiral ! La guerre est déclarée ! Oui. Et pire que ça : C’est la blogwar, n’ayons pas peur des mots. L’Amiral, donc, a décrété la mobilisation générale et la levée en masse. On rappelle même les plus de cinquante ans ; au point que le misanthrope du Plessis a renoncé à se réfugier à St Pierre et Miquelon pour répondre à l’appel en territoire ennemi avec ses chiens. Et sûr que le petit mousse est en treillis dans sa cour d’école avec sa catapulte…

Alors le Plouc-em ? Ben, en dépit de ses médailles de vétéran acquises sur divers théâtres d’opérations, vu son âge, l’état de ses coronaires, sa faible acuité visuelle de plus-myope-tu-meurs et son tonnage par essieu, compter sur lui comme grenadier-voltigeur en première ligne, pour la guerre c’est pas gagné… Ceci-dit, pour la blogwar, avec son sens patriotique intact, il se porte volontaire pour l’arrière comme capitaine d’habillement. Il s’engage à avoir l’œil dans les coins et à user comme d’hab’ de ses anciennes compétences d’artilleur et d’artificier pour tailler un costume à l’hostile passant à sa portée.

A vos ordres, Amiral !

3 commentaires:

  1. Bienvenu dans nos rangs. Pour ce qui est des prouesses militaires que l'on peut accomplir quand on n'y voit rien je vous conseille de lire Aztec de Jennings, ça vous mettra du baume au cœur.

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  2. Mais toute armée digne de ce nom a besoin de fourriers. Sans matériel et logistique, nos troupes feraient assurément long-feu.

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  3. Pourquoi le combattre? Il va sans doute se saborder à moins que son fiel ne l'étouffe.
    Quand je pense que je l'avais mis dans mes liens! Je suis ouvert à toute argumentation mais, à la première insulte, il est passé à la poubelle.

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