- Exposé : Vous êtes proprios d’un
caillou, un ilot inhabité dont on fait sans doute le tour à pied en moins de vingt
minutes et qu’on appelle pompeusement l’île du lapin. Il se trouve à vue des
plages de Lampedusa. Ah Lampedusa ! Une île de l’archipel des Pélages au
sud de la Sicile avec, vivant dessus, 6.000 habitants bien de chez vous. Le
tout faisant partie, nous disent les géographes, du plateau continental
africain, beaucoup plus près de la Tunisie et de la Lybie que de la Sicile ou
de Malte… Cet ilot, n’est-ce-pas, il est à vous et vous l’avez inclus dans les
contrats de sociétés de surveillance ("Schengen", "Frontex",
toussa…), c’est
important pour le périmètre des eaux
territoriales dont vous êtes responsable…
Et voilà que c’est par là
que vous êtes envahis depuis des années par des squatteurs entrant le plus
simplement, par effraction ou non, pour s’installer chez vous, voler vos
lapins, coucher dans vos draps, piller l’armoire à pharmacie, exiger que vous
leur signez un bail gratos, etc. Et il en arrive de plus en plus. Cet été, rien
que 20.000 en moins de deux mois…
Supposez qu’un rafiot sur
lequel a priori environ 500 guignols de cet acabit ont choisi de prendre leur
billet de transport collectif pour pouvoir venir profiter de chez vous en toute
illégalité fasse naufrage à une encablure de votre caillou. Au moins 155 d’entre
eux s’en sortent, tout mouillés, et iront grossir le squat avec d’autres
arrivés entre temps. Mais on estime à environ 210 le nombre de ceux ayant définitivement
bu la tasse à cette occasion.
- Question : Que
faites-vous ?
- Réponse : Vous
convoquez en urgence votre Conseil de famille des ministres pour
décréter une journée de deuil national !
Drapeaux en berne, toussa… Et ce sont
les vôtres dont les squatteurs vident
le frigo et se mouchent dans les rideaux qui sont invités à se couvrir la tête
de cendres tout en raquant les heures sup’ des plongeurs et autres personnels
qui s’efforcent de donner à ces malheureux des sépultures décentes et d’éviter
aux poissons une indigestion d’Erythréens…
Surtout quand on sait qu'ils ont foutu le feu à leur bateau en allumant des couvertures pour signaler leur présence....
RépondreSupprimerBien dit !
RépondreSupprimerEt cet incident ne me fait verser aucune larme.
Ils viennent en Europe mais n'aiment pas les Européens.
RépondreSupprimer"Le camp des saints" dans toute sa splendeur ( ou son horreur ?)....Jean Raspail était un visionnaire...
RépondreSupprimerC'est très mauvais, les indigestions d'erythreens....
RépondreSupprimerMême pour un gros poichon.....
Y a que des os et ça peut percer l'estomac....
Je me demandais si les survivants avaient aidé à la mise en bière, inhumation et tout des noyés ?
Non ?
Non?
Je n'y peut croire......
Un peu comme les maliens de Paris qui ont laissé les légionnaires libérer leur foutu pays.... pas un pour s'engager.....
Pff
Remarquez ,d'autres s'engagent.... en Syrie.... avec les ouaque barreurs.... s'ils pouvaient y rester, dans tous les sens du terme....
Lisez relisez la premiére pas du samouraï d'occident de D Venner et puis tout le livre
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